L'escalier d'Escher - Histoires de Sexe

L'escalier d'Escher

... d’encore plus coquin ?

Val connaissait sans doute la boutique et a reconnu le logo de Chloé : deux yeux surmontés d’ailes de papillon. Enfin, je crois que c’est ce que ça représente. Valérie ouvre la boîte :

— Elle… elle est magnifique. Et si douce, ajoute-t-elle en tenant la nuisette contre sa peau. Je peux l’essayer ?

Pour toute réponse, je lui prends la nuisette des mains et la lui passe. La soie glisse sur la peau de ses seins, cascade sur son ventre puis vient recouvrir son pubis. Et juste un petit peu les cuisses. Peut-être 10 ou 12 centimètres. Je fais tourner Valérie sur elle-même ; ma main effleure ses fesses à travers le tissu. Un tour complet. Ma main arrête Val en se posant sur son pubis. La soie ainsi plaquée épouse sa fente. J’ignore ce qui est le plus doux : les lèvres de son sexe épilé, ou la soie ?

— C’est si doux sur ma peau, me confirme Val. Presqu’autant que toi.

Nous sommes vraiment en phase toutes les deux.

— Je suis ravie de ton cadeau ! Ce soir, au restaurant, j’aurai l’impression que ta chatte se promène sur tout mon corps.
— Mais… tu sais que c’est une nuisette ? dis-je, complètement hypocrite.
— Ho, zut… je vais pas pouvoir la mettre, alors ? me provoque Val, qui a repris sa position moqueuse préférée, la tête penchée sur le côté et un doigt que je suspecte d’être mouillé sur sa bouche en cœur.
— Raaaah ! Tu me casses tout mes effets ! Paf, je t’enlève un point. Eh bien, non ! Tu n’iras pas au restaurant en portant la nuisette. ...

... Ce sera ta tenue numéro 2. Ta tenue numéro 1, ce sera celle que tu aurais dû porter hier.
— Aaah ! Et je devrais changer de tenue pendant le repas ? Humm… les gens vont être surpris en me voyant revenir des toilettes.
— Peut-être, peut-être. Cela va dépendre aussi de tes points.
— Mes points ? Ah oui, c’est vrai ; j’en ai perdu combien, à force ? Combien il m’en reste ?
— Vingt moins quatre, moins un, moins un et encore moins un ; je te laisse faire le calcul : là, j’y arrive pas ; j’ai pas assez de doigts, lui dis-je, trois doigts de la main droite enfoncés dans sa chatte, deux de la main gauche jouant avec la mienne.
— Ouh… Ça doit faire sept ! gémit Val.
— Ben, dis donc, tu comptes drôlement mal sur mes doigts, toi !
— Noooooon, ouuuii… Noonnn… Je parlais… de… mon… sept… ième… ORGAAASMMMMME !

Val termine de jouir en m’embrassant sur la bouche.

— Euh… Je viens vraiment de te faire jouir en trente secondes, là ?

Val hoche frénétiquement la tête. Une mèche de cheveux blonds trempés de sueur reste collée sur son front. Je la remets délicatement en place.

— Ah ouais, d’accord !

Je suis fière et heureuse.

— C’est quoi ma tenue numéro 1, alors ?
— Ah oui. D’abord, la tenue numéro deux se compose en fait de : ta nuisette, une paire de chaussures, un slip et un soutien-gorge de ton choix.
— Tout ça ?
— Oui ; c’est important pour la suite.
— Je suis toute ouïe.
— T’es plutôt toute « jouie ». Assieds-toi ; tu tiens plus debout.

Val s’exécute avec un ...