Naturibus et autres fantaisies
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fsoumise,
photofilm,
pénétratio,
fouetfesse,
extraconj,
cocucont,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... là donc elle n’est pas repartie chez elle. C’est alors que j’avise le fameux dossier Neponty bien en évidence. Je m’en empare pour découvrir dedans une petite feuille pliée en deux. Dedans, j’y lis :
— Allez voir aux archives.
Il n’y a que quatre personnes qui aient la clé : ma femme qui est au Portugal, mon comptable qui est déjà reparti chez lui, et nous deux, c’est-à-dire, Sylvie et moi. Bonne idée que d’avoir songé aux archives, bien que cette pièce, qui est en sous-sol, ne doive pas être des plus accueillantes.
J’ose supposer que Sylvie n’a pas trop attendu au sous-sol. Je parie même qu’elle y est descendue quand elle m’a vu arriver sur le parking. Dix-sept heures trente, il n’y a quasiment plus personne dans les bureaux. Lentement, pour faire durer le plaisir, je me dirige vers les archives. La porte est close, j’utilise la clé pour ouvrir, puis je verrouille derrière moi, on ne sait jamais.
— Sur votre droite… murmure une petite voix que je connais bien.
J’obéis, puis au détour d’un rayonnage encombré de dossiers, je la découvre. Oui, pour une surprise, c’est une surprise !
— Bonjour, Maître ! dit-elle de sa petite voix toute timide.
Il ne faut pas m’expliquer par A plus B ce que ma secrétaire a dans l’esprit, je l’ai deviné en une fraction de seconde quand je l’ai aperçue, plantée au milieu des rayonnages, quasiment nue, offerte, agenouillée sur un carton, me tendant une cravache posée sur ces paumes !
Je m’empare de la cravache, elle garde la ...
... tête baissée, et dit :
— J’ai été très vilaine, Maître…
D’une voix dure, je rentre dans son jeu :
— Tu sais ce qui arrive aux vilaines filles ?
— Oui… elles sont punies, Maître !
— Tu as tout compris ! Retourne-toi, montre-moi tes fesses ! Exécution !
— Oui, Maître.
Elle se retourne, se mettant à quatre pattes. Je peux alors mieux admirer les bas sombres et le porte-jarretelles de même couleur qui encadrent son mignon cul. Je fais cingler dans l’air la cravache, elle frémit. Je ne suis pas un spécialiste de cet engin de torture, mais je sais au moins comment il ne faut pas l’utiliser, car on peut vite blesser quelqu’un si on s’y prend mal. De plus, je ne pense pas qu’il faille entrer de plain-pied dans le BDSM. Rougir un peu ses fesses suffira amplement. De plus, je ne me sens pas l’âme d’un sadique, et je ne pense pas que Sylvie soit vraiment maso.
Modérant mon effort, je cingle ses fesses une première fois, elle pousse un petit cri. Puis je recommence, elle tortille du popotin. Ses fesses rougissent déjà. Faisant attention, je donne quelques coups supplémentaires, son cul se zèbre de striures écarlates. Puis je décrète :
— Tu as été assez punie comme ça.
— Ah bon ? C’est déjà fini ?
— Tu oses discuter des ordres de ton Maître ?
— Pardon, Maître.
Son repentir ne m’empêche pas de lui cravacher deux fois les fesses. Malgré cela, elle articule quand même :
— C’est que… j’ai été assez vilaine… Maître…
— C’est moi qui décide.
— Bien, Maître.
On ...