1. Le sourire d'Ava Gardner


    Datte: 04/05/2019, Catégories: fh, fplusag, vacances, Oral pénétratio, fdanus, confession, occasion, Auteur: Camille_2, Source: Revebebe

    ... un cri de jouissance et l’exhortai à m’aiguillonner sans merci, en accompagnant son geste d’intenses coups de hanches et de jurons salés.
    
    — Vas-y, plus fort. Défonce-moi !
    
    S’entendant ainsi encouragé, il redoubla d’efforts et me gratifia d’une claque sèche sur les fesses qui acheva de me rendre folle.
    
    — Oui ! Frappe-moi encore. Salaud ! Plus fort ! Prends-moi comme une pute !
    
    J’ignore quelle partie de mon cerveau reptilien me suggéra toutes les insanités que je me mis à proférer. J’étais littéralement possédée. Ce n’était plus les doigts d’Hugo que je sentis emplir mon cul, mais son sexe courbe et bouillant qui m’enculait vaillamment.
    
    Je me cambrai, le visage voilé par mes cheveux, le front couvert de sueur, mordant mes lèvres jusqu’au sang. Chaque coup imprimé sur mes fesses, par la main ferme, me ramenait un peu plus au rang d’un animal lubrique. Un son guttural s’échappa de mes lèvres, qui grandit jusqu’à me submerger et à m’anéantir. Un puissant jet de liquide chaud jaillit entre mes cuisses, maculant les draps. J’enfonçai la tête dans mon oreiller pour étouffer mon hurlement. C’est alors que la scène prit un ultime virage sadien, lorsque les doigts d’Hugo quittèrent mon orifice et que mon sphincter, libéré de toute pression, expulsa un étron lisse et chaud.
    
    Tandis mon corps brisé par la violence du choc n’en finissait plus de tressaillir, je pris conscience qu’Hugo avait eu le temps de sortir de la chambre et de revenir. Je sentis, entre mes fesses, ...
    ... le contact tiède d’un gant de toilette. Une fois nettoyées les traces de mon abandon, il y déposa un doux baiser.
    
    — Vous étiez combien pour me faire tout ça ?
    
    J’articulai si faiblement que je ne fus pas certaine qu’Hugo m’ait entendue, mais en guise de réponse, il se pencha et ouvrit, à sa ton tour, ma bouche avec ses lèvres pour m’embrasser.
    
    Je dormis jusqu’au milieu de l’après-midi. En sortant sur la terrasse, après une douche réparatrice, je trouvais Hugo penché sur son calepin. Je m’assis en face de lui, savourant un café et une cigarette et l’observai, absorbé dans ses travaux d’écriture. Bercée par la douceur de l’après-midi, je repensais à cette nuit et à cette matinée incroyables que je venais de vivre et fantasmais déjà sur celles qui nous attendaient. Mais Quentin revint plus tôt que prévu. À cause d’une dispute avec Julia, il avait décidé d’écourter sa balade. Il arriva au chalet quand nous passions à l’apéro.
    
    Le jour suivant, la tension entre nous trois fut palpable. Hugo et moi nous efforcions de garder nos distances. À cause de sa rupture, Quentin était d’une humeur exécrable. Hugo, quand il n’écrivait pas, passait sa frustration sur lui. Quant à moi, je m’efforçais de temporiser du mieux que je pouvais.
    
    Le lendemain, Hugo nous annonça son départ. Mon fils essaya de le faire changer d’avis, s’excusa pour son attitude. Je ne tentais rien, même si sa décision m’attristait. En fin de journée, nous le conduisîmes à la gare de G. Sur le quai, Hugo et ...