Le sourire d'Ava Gardner
Datte: 04/05/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
occasion,
Auteur: Camille_2, Source: Revebebe
... harmonieuse. Pour la première fois, depuis le passage du cap de la quarantaine, il me semblait que tous ces stigmates du temps, dont je ne pouvais nier l’existence, mettaient en valeur les traits de la jeune femme, qu’on percevait toujours sur ce visage et dans les lignes de ce corps.
Dans la lumière matinale de ce mois de juillet, et pour quelques années, j’étais encore, objectivement, une femme belle et désirable. Ce constat me fit sourire, je me détournai et avançai jusqu’à la balustrade déjà chauffée par le soleil, qui bordait la terrasse. Après avoir allumé une cigarette, je contemplai, en recrachant la fumée, la montagne qui se dressait, majestueuse, devant moi, caressant déjà l’idée de rejoindre bientôt mon jeune prodige.
Hugo dormait toujours à poings fermés, ou feignait de le faire, comme je m’en rendis vite compte. Je déposai un baiser sur son front, ses paupières closes, ses joues, avant de m’arrêter sur sa bouche dont je goûtai doucement les lèvres. Il tenta alors d’attraper ma langue. Je me dérobai, puis avançai le buste pour lui offrir à la place un téton. Il le lapa et le mordilla avec l’avidité d’un nouveau-né. Une main vigoureuse vint bientôt agripper mon sein qu’elle pétrit au rythme de la succion. Je le forçai à le lâcher pour m’éloigner de ses lèvres et reprendre mon pèlerinage, toujours plus au sud.
Après plusieurs stations, le long du cou, de la poitrine – qui me valut un premier murmure audible de satisfaction – des côtes et du nombril, ...
... j’arrivai en vue du terme de mon voyage. Je me redressai et l’embrassai sur la bouche avec passion. Profitant de ce que j’avais détourné son attention, ma main se coula subrepticement à l’intérieur de son caleçon et se referma sur la verge, recueillant au passage quelques gouttes de sperme qui perlaient déjà à l’extrémité du gland. Sous les caresses que je lui prodiguais, son corps fut pris d’un bref tremblement. Si je poursuivais plus avant, Hugo allait bientôt venir dans ma main. Je relâchai la pression et me plaçai au pied du lit, lui laissant le temps de récupérer.
Dès que sa respiration devint plus régulière, je positionnai mes mains de part et d’autre du caleçon et le fis glisser vers moi. Maintenant libéré, le sexe m’apparut dans toute la beauté simple et appétissante de sa carnation mate. Le gland émergea du prépuce comme un fruit rouge trop mûr. Une grosse veine sombre pulsait le long de la tige qui prenait en bandant une forme légèrement incurvée.
En abordant l’ascension de ses jambes, j’avais l’impression de manipuler une bombe à retardement. Lorsque j’atteignis la mèche, je me contentai de l’attraper avec d’infinies précautions. Je la repoussai délicatement vers l’avant et la maintins ainsi pour mieux accéder à ses bourses, mais face à la réaction spasmodique que je déclenchai en léchant ses testicules, je compris qu’il était temps de conclure.
Le sexe toujours en main, je me rapprochai pour n’en faire qu’une bouchée. Comprimant la tige entre mes lèvres, je le ...