1. Le sourire d'Ava Gardner


    Datte: 04/05/2019, Catégories: fh, fplusag, vacances, Oral pénétratio, fdanus, confession, occasion, Auteur: Camille_2, Source: Revebebe

    ... suçai avec voracité. Après deux longs allers-retours, Hugo posa une main sur mon épaule, sans doute pour me signifier qu’il était sur le point de jouir. Je poursuivis mon office avec d’autant plus d’empressement et, au bout de quelques secondes, sentis un flot bouillonnant de sperme chaud et gluant m’emplir la bouche. La main d’Hugo se crispa, tandis qu’un tremblement convulsif animait son corps. Ce n’était pas le premier homme que je laissai venir dans ma bouche, mais cette fois-ci je voulais avaler son foutre jusqu’à la dernière goutte et ne m’en privai pas, pendant qu’Hugo goûtait aux affres de sa petite mort.
    
    Il effleura mon ventre et avec ses doigts caressa les poils drus de ma toison. Entre les miens, une cigarette se consumait. La fumée se délita au-dessus du lit avant d’être happée par la fenêtre ouverte. Tournant la tête, je lui murmurai cette question que je m’étais juré de ne pas lui poser :
    
    — Qu’est-ce qui te plaît, chez moi ?
    
    Hugo prit son temps pour satisfaire ma curiosité.
    
    — Tu as le sourire d’Ava Gardner…
    
    Je m’attendais à tout, mais là, il me laissa sur le cul.
    
    — Tu te fous de moi ?!
    — Non, j’me fous pas de toi. Quand tu souris, tu as cette même fossette au menton qu’Ava Gardner dans La Nuit de l’Iguane.
    
    Je restais un moment silencieuse, essayant de raviver mes vagues souvenirs du film de Huston, puis me levai pour jeter mon mégot par la fenêtre, avant de revenir me serrer contre lui.
    
    — Ava Gardner… avec un plus gros nez et un plus ...
    ... gros cul, alors ?
    
    Avant qu’il ne réplique, j’ouvris sa bouche avec ma langue et m’y abreuvai tout en montant et descendant ma main le long de sa verge, que je désirai plus que jamais sentir en moi. Hugo me retint et dit soudain :
    
    — Allonge-toi sur le ventre.
    
    Je le fixais, surprise par le ton ferme qu’il avait employé, et obéis.
    
    Il retira ma culotte avec une telle précipitation que j’entendis craquer le tissu. Il agrippa les deux orbes de mes fesses pour les pétrir avec impétuosité, avant de les forcer à s’ouvrir et accéder librement à ma raie. Il put ainsi la lécher avec application jusqu’à atteindre la rosette sur laquelle il s’attarda un moment. Un frémissement s’empara de moi qui s’intensifia lorsque je sentis l’extrémité humide de sa langue se couler de quelques centimètres à l’intérieur de mon cul. Hugo lutina ainsi ma rose de délicieux mouvements circulaires, essayant à chaque tour de s’immiscer plus avant.
    
    Quand il estima que mon trou était suffisamment lubrifié, il cessa son petit jeu et remplaça avantageusement sa langue par un doigt qu’il enfila sans peine de toute sa longueur. Je laissai échapper un soupir de contentement et relevai la croupe pour faciliter la pénétration.
    
    Hugo faisait preuve de plus de rudesse qu’il n’en avait fait montre la veille et j’aimais ça. Alors qu’il avait augmenté la cadence de sa masturbation, il fit une nouvelle tentative, plus que concluante, pour introduire un second doigt dans mon anus parfaitement dilaté. Je poussai ...