Descente au Paradis (3)
Datte: 03/05/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory
... jacuzzi. En même temps, elle l’a bien cherché : un jacuzzi n’est pas un bain, on peut être plusieurs à l’intérieur, alors pourquoi ne pas le partager ? Un frisson lui remonte le long de la colonne vertébrale jusqu’au bulbe rachidien : elle a fait une bêtise, elle aurait dû, ne serait-ce que rester en sous-vêtement, cela aurait été plus intelligent. Que va-t-elle faire maintenant ? Lui dire qu’elle est nue ? Et pourquoi pas lui écarter les cuisses aussi ? Non, elle ne peut pas lui avouer ! Et pourtant, si elle ne fait rien, il va entrer, d’ailleurs, il commence déjà à défaire sa ceinture. Il faut qu’elle l’arrête avant qu’il ne soit trop tard : elle a juste à inventer un mensonge, lui demander qu’il sorte pour se changer et aller dormir, car elle est fatiguée. Et encore non... puisque les cabines sont fermées, et si elle était en maillot, elle pourrait tout simplement sortir. Que faire, que faire ?
Réfléchis, Suzanne, réfléchis...
Trop tard ! Au moment où elle ouvre la bouche pour sortir une excuse qui pourrait lui permettre d’échapper à la situation, Marcel défait son short, se retrouvant en caleçon devant la belle quadragénaire. La mâchoire de Suzanne tombe : dans le sous-vêtement de Marcel, une énorme barre de fer s’observe au travers du tissu, un engin bien plus gros que ce que la belle a pu voir au cours de sa vie. Elle qui n’a jamais connu que le sexe de son ex-mari, la voilà servie : l’engin au repos fait bien trois ou quatre centimètres de large, pour une ...
... quinzaine de long, avec un gland encore plus épais dont la belle devine parfaitement la forme. Instantanément, Suzanne pique un fard : le chaud lui monte le long des joues, puis dans tout le corps. Son bas-ventre brûle de désir et ses tétons se durcissent contre ses bras. Le stress lui monte à la tête : ses beaux yeux bleus sortent presque de leur orbite, et elle n’arrive pas à décrocher son regard du membre de Marcel.
Aucune pensée ne traverse son esprit. Suzanne a si chaud que ses oreilles sifflent, à tel point qu’elle n’entend même plus les paroles que débite Marcel.
Celui-ci enjambe – difficilement avec son poids – le jacuzzi : il n’est pas obèse, mais bien en surpoids, et ne semble pas très à l’aise sur ses jambes en situation d’équilibre. Une fois le caleçon disparu sous l’eau, Suzanne détourne le regard de honte, non sans avoir jeté un œil à la tête de Marcel pour être sûre qu’il ne l’a pas vue complètement béate devant son sexe. Ce ne semble pas être le cas : il est tout rouge, peut-être autant à cause de l’alcool que de la chaleur, et est trop occupé à raconter des bêtises pour se préoccuper de ce qu’elle regarde.
Tant mieux... Mais Grand Dieu !
A cette pensée, elle porte la main sur sa croix. Il est maintenant trop tard pour réagir, elle ne peut plus faire machine arrière, et va devoir attendre que Marcel se décide à sortir du jacuzzi pour faire de même. Non ! Il faut qu’elle se reprenne ! Elle doit faire comme si de rien n’était, comme si elle était en maillot ...