1. La maman dévergondée, 8° partie


    Datte: 01/05/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... autres n’ont pas. Ça te choque, ce que je te dis ?
    
    – Non. Si vous ne m’aviez pas recueillie, je serais mort sur la plage, de froid, de faim ou de fièvre. Ou noyé par la marée. Je vous en serai éternellement reconnaissant.
    
    – J’aimerais te demander un service. D’abord, tu peux me tutoyer. Ensuite… si cela ne te dérange pas trop (elle semblait vraiment gênée) … je voudrais que tu m’appelles Maman.
    
    – Comme vous… comme tu veux, Maman.
    
    – Tu es mon petit chéri… Stéphane… Stéphanie ! Je t‘ai enfin retrouvée. Continue à te caresser, oui, ne t’arrête pas. Va jusqu’au bout de ton plaisir. Tiens, je vais t’aider.
    
    Je ne comprenais pas. Bien qu’habillée, mais pieds nus, elle est entrée sous la douche et m’a chatouillé les bourses, du bout des doigts, pendant que ma main droite frictionnait vigoureusement ma verge. Son autre main caressait mon dos, le long de ma colonne vertébrale, de la nuque à l’anus où elle s’est attardée d’un index glissant entre mes fesses et tournant autour de l’orifice.
    
    Ces gestes décuplaient ma volupté qui est montée vers des sommets que je ne connaissais pas. Pendant ce temps, elle me disait à l’oreille :
    
    – Petite fée, abandonne-toi entre les mains de ta maman coquine. Tu aimes la masturbation assistée, n'est-ce pas ?
    
    Avec Stéphanie, nous la pratiquions souvent. Allons, va, ne sois pas pudique avec ta pauvre mère : ouvre-moi ton cul, ouvre-moi ta chatte, laisse-moi jouer avec toi. Tu aimes bien que je te tripote aux endroits où ça fait du ...
    ... bien ? Oh, qu’il est gros, ton clitoris ! J’ai toujours aimé m’amuser avec.
    
    Je n’osais pas lui dire que j’étais un garçon. Je ne voulais pas la contrarier : elle était si douce et sa voix si apaisante, et les mouvements de ses mains si puissamment précis que j’ai joui comme jamais. J’ai même crié d’une voix aigüe, comme une fille.
    
    – Viens, ma petite poupée adorée, Maman va te faire ta soupe préférée : du bouillon aux cheveux d’ange, bien chaud, et ensuite, tu dormiras dans le lit de Stéphanie, puisque maintenant, tu t’appelles comme ça. Tu veux bien ?
    
    – Oui, Maman.
    
    Elle avait les vêtements trempés. J’ai glissé ma main dans son pantalon, me frayant un passage sous l’élastique de sa culotte, j’ai trouvé le clitoris et l’ai branlée toute habillée, sous la douche brulante. Elle a fermé les yeux, ne m’a opposé aucune résistance et s'est au contraire cambrée en arrière en écartant les jambes, pour me faciliter l'accès. Au moment où elle a joui, je lui ai murmuré à l’oreille :
    
    – Si tu veux, je serai ta fille chérie, et tu me dorlotas autant que tu le voudras.
    
    – Oh, oui !
    
    J’ai revêtu le pyjama à dominante rose. Pendant le repas, elle m’a expliqué qu’elle avait une fille qui s’appelait Stéphanie. Celle-ci s’était suicidée à l’âge de dix-huit ans, sans aucun signe avant-coureur, en se jetant sous un train. C’était il y avait deux ans. Le choc a été d’une telle v******e que son mari est parti, abandonnant Myriam au cœur dévasté dans la grande maison. Elle vivait la ...