1. La maman dévergondée, 8° partie


    Datte: 01/05/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Résumé des épisodes précédents : Maman veut me mettre dans son lit, mais je ne veux pas, et pourtant, nous nous aimons beaucoup. Je crois que je viens de mettre un doigt, non, une langue, dans l’engrenage du désir, dans un long bouche-à-bouche, enlacés au salon, tendrement…
    
    J’ai eu mon bac de justesse, au repêchage, mais je ne savais pas ce que j’allais faire l’année suivante, et cette absence de décision me minait le moral. Durant tout l’été, Maman n’a pas cessé de me tourner autour. Nous n’avions pas d’argent pour partir en vacances, car le peu qui me restait, après m’être prostitué chez Christelle et Denis, s’était envolé avec les factures urgentes. Pendant deux mois, nous sommes restés claquemurés dans la moiteur estivale, ne nous habillant que pour aller acheter de quoi manger. Adrienne passait de temps en temps ; elle nous apportait des fruits de son verger. Elle tenait la main d’une fille qui se prénommait Laetitia et qui était d’une beauté renversante – pas touche, Stéphane, elle est à moi, disait ma demi-sœur ! J’ai vu passer quelques amants des deux sexes, qui chevauchaient ma mère sans que le couple ressente le besoin de se cacher de mon regard. Dans ces moments-là, Maman s’appliquait même à s’exhiber dans les poses les plus provocantes possibles, comme une actrice porno.
    
    Début septembre, je suis parti. Les copains faisaient leur rentrée à la fac, Adrienne a débuté de brillantes études d’ingénieure. Cela mettait de la distance entre nous. Direction : au ...
    ... hasard. J’ai jeté sur mon épaule le vieux sac de sport rempli d’habits en vrac, volé un billet à Maman - le seul qui nous restait pour les courses ; elle devra se débrouiller sans -, j’ai chaussé mes baskets et j’ai fermé doucement la porte, pour ne pas la réveiller. Il était aux alentours de deux heures du matin.
    
    J’ai longuement marché le long d’un canal, sans m’arrêter ni croiser personne, jusqu’à l’aube. La fin septembre conservait de beaux restants de l’été. Je me suis acheté un croissant dans une boulangerie, et je suis reparti durant la journée entière. Il y avait des promeneurs, et aussi des filles à vélo, vêtues de courtes robes, qui me souriaient et auxquelles je rendais leur sourire. Mais je ne m’arrêtais pas. Le chemin serpentait comme les méandres de mon esprit mélancolique, mais globalement, il progressait vers l’ouest.
    
    La nuit, je dormais dehors, au bord de l’eau, enveloppé dans une couverture que j’avais trouvée dans une poubelle. Je dormais peu et j’avais faim et froid, mais ce n’était pas cela qui me faisait souffrir le plus. Je crevais d’un manque de femme, comme si le désir me lacérait le sexe à coups de couteau. Alors, je me branlais dans les étoiles : Polaris la blonde, Bételgeuse la grosse rousse aux seins confortables que j’arrosais de mon sperme, frénétiquement, et la rivière de ma semence s’écoulait dans le canal brumeux.
    
    À l’aurore, je reprenais la route, l’esprit encore voilé de mes fantasmes noirs. Les rares fois où je fermais l’œil, je rêvais ...
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