1. La maman dévergondée, 8° partie


    Datte: 01/05/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... de ma mère au regard libidineux tourné vers mon corps. À chaque fois, nous fusionnions dans des caresses tendres, et j’entrais en elle comme on entre en paradis.
    
    Quand la pluie a commencé à tomber, je me suis rendu compte que mes semelles étaient trouées. Pour ne pas avoir les pieds mouillés, je les ai emballés dans des sacs en plastique, ceux que les supermarchés distribuaient à l’époque sans compter, de sorte qu’il y en avait en abondance sur le bord du chemin. Afin d’avoir moins froid, je glissais du papier journal sous mes vêtements. Il y avait des petites annonces et aussi des revues de charme que l’on trouvait en haut des présentoirs des buralistes. Bien que dévêtues, ces femmes aux poses lascives me tenaient chaud durant la marche. Ce sont là de vieilles ruses de clochard, ce que j’étais effectivement devenu avec mes cheveux gras et ma barbe noire qui poussait jour après jour.
    
    Le soleil couchant vers lequel je marchais m’indiquait un cap global, à travers les sinuosités de ma route. Pour manger, j’écorchais mes mains aux buissons de ronces qui me fournissaient des mûres, et je volais les fruits des vergers qui se trouvaient sur mon passage. Des mots étranges venaient progressivement s’imposer à mon esprit : je m’arrêtais pour les noter, avant de poursuivre mon chemin de solitude.
    
    L’océan a stoppé net ma progression. C’était un soir, au crépuscule. J’étais épuisé, j’avais faim et froid, et la fièvre contractait en spasmes mon cuir chevelu. Je me suis couché ...
    ... sur le sable en position fœtale et contemplais les vagues, les pensées encombrées de mille rêves érotiques où d’aimables sirènes aux poitrines généreuses sortaient des flots pour venir me sucer jusqu’à ce que j’en crève. Je pensais que la mer allait monter et m’emporter vers le large.
    
    Une promeneuse est passée près de moi, et s’est arrêtée. Elle ressemblait étrangement à ma mère : mêmes cheveux courts, même corpulence, peut-être un peu plus vieille. Elle a caressé mes cheveux sales, silencieusement. Nous regardions en temps même l’océan s’éteindre dans les ombres grandissantes de la nuit. Elle m’a seulement demandé mon prénom et mon âge, et ma réponse a paru la troubler sans que je comprenne pourquoi. Elle m’a dit s’appeler Myriam. Puis elle m’a pris par la main, nous sommes montés dans sa voiture et elle m’a emmené chez elle où elle m’a offert de prendre une douche chaude, luxe inouï dont je n’avais pas bénéficié depuis un mois.
    
    – Je t’ai apporté un pyjama, a-t-elle dit en entrant dans la salle de bains qui je n’avais pas verrouillée.
    
    Je venais de raser cette barbe que je n’aimais pas ; à cette époque, contrairement à aujourd’hui, il n’y avait presque pas de jeunes barbus. Elle m’a vu dans le plus simple appareil. Lubrifié de savon, j’étais en train de me masturber et j’étais bien bandé.
    
    – Excuse-moi. Je peux revenir plus tard.
    
    – C’est comme vous voulez.
    
    – Tu es beau, jeune homme. Un véritable éphèbe grec. Il y a en toi une part féminine, une grâce, que les ...