Deutsche Gefahr
Datte: 29/04/2019,
Catégories:
fh,
hh,
hagé,
couple,
couplus,
extracon,
extraoffre,
cocus,
Collègues / Travail
hotel,
fête,
telnet,
contrainte,
vidéox,
facial,
Oral
pénétratio,
hsodo,
québec,
Auteur: Sweetguyqc, Source: Revebebe
... plus hautes fonctions.
— Pourquoi ces questions ?
— Pour deux raisons. La première, c’est que je n’ai jamais fait confiance à votre prédécesseur, et vous, je vous fais confiance. La deuxième, c’est que pour obtenir ce que vous désirez, vous devrez faire quelque chose que je n’ai jamais voulu faire.
— C’est-à-dire ?
— Acculer trois personnes au pied du mur.
— Et de quelle manière ?
— Venez avec moi.
Il l’entraîna derrière un petit muret à un bout de la terrasse. Là, il se retrouva face à un homme en smoking noir portant sur son veston le badge des services de sécurité allemands.
— Halt !
— Churchill.
L’homme en veston s’avança alors calmement vers eux et serra la main de Bill.
— Sir, the’re in there.
Et il s’éloigna, les laissant seuls. Thomas, pétrifié par ce qui venait de se dérouler, fixa Bill. Tout en se hissant sur le muret de pierre, ce dernier se tourna vers lui.
— Ne vous en faites pas : le MI6 a des hommes partout.
— …
— Savez-vous de quoi tous les politiciens ont peur ?
— D’un scandale.
— À la bonne heure. Venez.
Thomas se hissa à son tour et regarda par la grande fenêtre que Bill lui désignait des yeux. Ce qu’il vit le laissa sans voix.
À l’intérieur, couché sur un grand tapis, Hiromito Tagashi, le ministre des Finances japonais se faisait sodomiser à grands coups par Hans Werber. Ce dernier s’insérait de tout son long dans le fondement du Japonais dont les fesses était si huilés qu’elles luisaient dans la pièce éclairée par ...
... quelques petites lampes de lecture.
— Mon Dieu…
— Oui, c’est probablement ce qu’il dit en ce moment en recevant tout cela.
— Mais comment savais-tu ?
— C’est connu de notre petit cercle restreint. Ce sont les preuves qui manquaient…
— Mais vous pourriez le faire chanter…
— Nous pourrions. Mais il nous tient : il possède sur nous plusieurs informations que nous préférons garder confidentielles.
— Sur nous ?
— Oui, sur nous.
L’Allemand martelait le Japonais à un tel point que ce dernier devait agripper l’épaisse moquette pour ne pas se déplacer sous les assauts, le visage déformé par le plaisir.
— Vous avez votre téléphone ?
— Oui.
— Dois-je vous faire un dessin, cher ami ?
Thomas sortit son appareil et déposa son verre sur le rebord de la fenêtre, le cigare toujours bien en bouche. Très soigneusement, sans trembler, il commença à enregistrer la scène.
Bill, à ses côtés, tirait de longues bouffées de son cigare hors de prix. Il filma pendant de longues minutes. Lorsque l’Allemand se retira pour asperger le postérieur du Nippon, il cessa de filmer et descendit son piédestal, bientôt suivi par son nouvel ami de circonstance.
— Venez, marchons un peu.
Sous le choc, Thomas suivit Bill en direction de la terrasse sur laquelle ils furent bientôt rejoints par Camille Lagarde, ministre française de l’Économie.
— Monsieur Brown.
— Madame Lagarde.
Ils prirent place autour d’une table à l’écart, et Thomas saisit son paquet de cigarettes dans sa poche de ...