Aire de stationnement
Datte: 29/04/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
couplus,
inconnu,
campagne,
parking,
facial,
Oral
préservati,
double,
Partouze / Groupe
init,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... faire sentir, par des actes et pas par des paroles, que nous sommes à l’unisson.
Mon bâton ne sort de son cul que pour mieux l’envahir et retrouver la chaleur du conduit qui semble maintenant l’accepter de plus en plus facilement. Nous avons trouvé le bon rythme avec l’homme qui, lui aussi, la baise. Alors qu’il avance, je recule et inversement. C’est lui, en expert, qui s’est synchronisé avec moi. Chacun notre tour nous baisons ma femme, complices dans le partage. Il ajoute à la possession les caresses de ses seins, et elle n’est maintenant qu’une poupée de chair que nous utilisons pour son plus grand plaisir. Prise de toute part, elle se laisse faire.
L’homme me fait un clin d’œil. Ses mains abandonnent la poitrine pour venir s’accrocher aux hanches charnues et sensuelles. Il stoppe ses mouvements de baise, m’invitant à faire de même. Nous voici immobiles, bien au chaud dans notre maîtresse. Alors, de ses mains il imprime un mouvement, faisant comprendre à Dominique que c’est à elle de marquer la cadence. Elle doit abandonner la queue noire, mais c’est pour mieux la prendre dans sa main.
C’est elle maintenant qui se baise sur nos queues, mandrins jumeaux à peine séparés par une paroi si fine et si tendue qu’elle se fait oublier. Au début, c’est avec précaution qu’elle avance et recule, mais très vite les sens s’échauffent et c’est avec une sorte de force non retenue qu’elle nous enfourne jusqu’à la garde, nous écrasant de tout son poids. Elle va, elle vient. ...
... Elle monte, elle descend. Elle branle la queue noire avec la même violence.
Ma jouissance arrive, torrent de sperme brûlant qui inonde son fondement. Puis, sans prévenir, de la queue noire jaillit le foutre blanchâtre et le premier jet la surprend en frappant son visage. Les autres, redirigés, viennent s’écraser sur son épaule puis la source se tarit. Sa main abandonne la bite pour venir repousser les traînées qui coulent vers ses yeux.
Pendant tout ce temps, elle continue de se baiser avec la même frénésie, accompagnant chaque poussée d’un souffle qui s’échappe de ses lèvres et, alors que sa jouissance monte pour venir lui offrir un orgasme salvateur, elle nous crie son bonheur de femme comblée par des « oui… oui… oui… » ininterrompus, jusqu’aux « je jouis… je jouis… » avant de littéralement s’effondrer sur son amant.
Quel moment merveilleux ! Quelle femme, que ma femme ! Je ne peux me retenir de l’embrasser dans le cou jusqu’à ce qu’elle me tende ses lèvres pour un baiser d’amour.
Après avoir repris notre souffle et désuni l’étrange animal de nos quatre corps enchevêtrés, nous nous reposons un instant sur le banc. Depuis notre arrivée, une question me taraude. Je pense avoir le droit de la poser à nos deux compagnons.
— Mais vous êtes toujours en attente sur ce siège ? Vous habitez à côté ?
C’est le Noir qui me répond, avec un petit accent chantant des Îles.
— Pas toujours, mais souvent ; à la bonne saison, surtout. Quelquefois on est tous les deux, ...