Aire de stationnement
Datte: 29/04/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
couplus,
inconnu,
campagne,
parking,
facial,
Oral
préservati,
double,
Partouze / Groupe
init,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... je la voie s’installer à genoux sur son amant et, alors que sa main guide la queue tendue, descendre sur l’objet de son désir. Elle est maintenant assise sur les cuisses de l’homme, le dard au plus profond de son intimité.
Elle tourne la tête vers nous, son mari et le Black, pour s’assurer que les spectateurs sont avec elle. Rassurée et certainement excitée, elle s’agrippe au dossier du banc pour commencer sa chevauchée.
C’est incroyable, inimaginable. Ce que nous n’avons pas pu faire au club se réalise. La différence ? L’obscurité ! Oui, l’obscurité qui vous cache mais aussi vous libère. Et ma Dominique se libère. Elle se baise avec ardeur, montant et descendant sur cette queue inconnue que son vagin apprend à connaître. Ses fesses claquent sur les cuisses de son amant.
À nouveau elle regarde vers moi, me sourit. Je comprends le message. Elle m’attend pour que nous réalisions ce fantasme dont la première idée a germé dans nos cerveaux au même endroit, trois mois plus tôt. D’ailleurs, elle cesse ses mouvements pour se pencher un peu plus sur son partenaire. Lui aussi sait la suite du programme et ses mains plaquées sur les fesses de Dominique tirent pour en ouvrir la vallée.
Devant une telle offrande, je ne peux que venir me positionner entre les cuisses de l’homme, cherchant un instant la meilleure position avant de…« Oh, mon Dieu, que faisons-nous ? Avons-nous le droit ? Pouvons-nous réellement changer notre sexualité à ce point ? Et si cela faisait éclater ...
... notre couple ? » Ces pensées me traversent l’esprit le temps d’une microseconde, mais je sens le regard de l’homme qui possède ma femme ainsi que celui de l’autre qui a fait le tour du banc et montre maintenant une belle bite noire en érection. Mais ce qui me fait perdre toute retenue, c’est la vision du petit trou de Dominique. Je suis sûr que s’il savait parler, il me dirait :
— Viens, regarde : je t’attends, ma maîtresse t’attend… Est-ce un effet de la pénombre ? Mais je le vois qui palpite, esseulé alors que son voisin laisse voir le bas de la verge et des couilles qui pendent.
La messe est dite. Pas si vite, cependant. Il faut forcer le chemin, ramper pour se frotter à l’autre queue et enfin arriver au but. C’est douloureux pour Dominique – ou du moins désagréable – car elle gémit sous ma poussée et il lui faut un moment afin de reprendre son souffle. Même moi, j’ai l’impression que mon bâton s’écorche à l’autre. Mais c’est mon bâton, cette verge gonflée dont la raideur retrouvée grâce au fantasme en cours demande de la place pour glisser dans le cul de ma femme.
Dominique semble s’habituer très vite à cet envahissement de nos deux verges, complices mais concurrentes, dont les bourses se frottent, surtout que maintenant elle ondule du bassin d’avant en arrière dans un mouvement lascif qui la fait se déplacer sur nos mandrins.
Le Noir s’est avancé contre le dossier du banc et, tout en maintenant sa verge doucement branlée par sa main, semble la proposer à ma femme ...