1. Aire de stationnement


    Datte: 29/04/2019, Catégories: fh, fhhh, couplus, inconnu, campagne, parking, facial, Oral préservati, double, Partouze / Groupe init, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... en l’amenant à portée de bouche.
    
    Allons-nous directement passer du fantasme de double pénétration qui nous a conduits sur ce parking à un autre, où un troisième homme vient apporter sa partition et transformer une musique de chambre qui vient déjà de passer d’un duo à un trio, en symphonie jouée à quatre instruments ?
    
    Les phares d’une voiture qui éclairent un instant notre scène immortalisent dans mon esprit la langue exploratrice qui lèche le gland sombre comme une glace au chocolat avant de le prendre dans sa bouche. Elle le garde un instant entre ses lèvres, lui faisant sans doute le coup de la langue qui glisse sur la couronne, ce qui, personnellement, me rend hypersensible.
    
    Mais aussi doit-elle pleinement prendre conscience de cet instant où trois hommes sont à sa disposition. Peut-être a-t-elle déjà envisagé cette situation dans un rêve ou une pensée qu’elle jugeait inavouable, impensable pour une femme mariée et fidèle ? En cet instant, son corps n’est qu’une seule zone érogène. Elle sent les deux verges qui palpitent au rythme du sang qui les irrigue. Elle retrouve aussi celle de son mari avec cette vigueur un moment perdue, et qu’inconsciemment elle regrettait. Cette queue qui, pendant toutes ces années, lui a donné du plaisir, que Philippe sait si bien proposer à ses orifices et qu’elle adorait – non : adore toujours – sucer et pomper jusqu’à la faire juter dans sa gorge avec ces petits cris qui transforment cet homme mûr et sûr de lui en petit garçon ...
    ... fragile. Quant à celle qu’elle a pour l’instant en bouche, ce gland sombre, assez gros, en forme de champignon, qu’aucune peau ne vient cacher, c’est la cerise sur le gâteau. Pas plus grosse, pas plus longue que celle de Philippe. Non, c’est autre chose. La couleur, bien sûr ; mais elle n’a jamais fantasmé sur le « rêve africain ». Mais plutôt cette sorte de puissance que ses doigts ressentent en parcourant la hampe aux veines saillantes et les deux couilles dans leurs bourses étrangement pendantes et distendues comme si un poids les lestait.
    
    Dominique déguste et profite de ce moment. Trois sommes suspendus à son désir et à ses ordres. Longuement, elle joue du bassin comme si chaque geste lui procurait des sensations nouvelles qu’elle exprime par des « mum » ou des « oui » qui s’échappent, déformés, de ses lèvres toujours occupées.
    
    Je me penche un peu plus vers elle, et alors qu’elle s’évertue à déguster la longue friandise, je lui susurre à l’oreille :
    
    — Je ne savais pas que tu aimais la glace au chocolat à ce point.
    
    Elle abandonne sa sucette pour tourner son visage vers moi et, ne relevant pas la plaisanterie, me répond avec une voix marquée par le plaisir :
    
    — Oh, Philippe ! C’est bon. C’est bon… Jamais je n’aurais pensé ! Oh, mon amour, merci, merci.
    
    Que répondre à un tel aveu ? Rien, si ce n’est que j’ai une envie folle de bouger. Jamais – en tout cas pas depuis une éternité – je n’ai senti une telle montée d’excitation, un tel besoin de la posséder et de lui ...