1. Florence


    Datte: 28/04/2019, Catégories: ff, fépilée, vacances, plage, piscine, Masturbation init, Lesbienne Auteur: Adrien, Source: Revebebe

    ... pourrait.
    
    Cette fois c’était elle qui était intimidée.
    
    La veille du retour les hommes voulurent aller laver leurs voitures, faire les pleins et les niveaux. Ma mère, qui voulait faire quelques achats, les accompagna. J’ai entendu les voitures partir et Florence est entrée dans ma chambre dans la minute suivante.
    
    Elle a été très douce. Après un long cunnilingus, elle m’embrassa en me masturbant. Son index et son majeur m’ont pénétrée au moment où j’ai joui. Je n’ai ressenti aucune douleur, que du plaisir. Je l’ai regardée avec reconnaissance et, dans le clair obscur, je l’ai vue se lécher les doigts.
    
    Après le retour nous avons continué à nous voir mais la vie parisienne avait un peu brisé le charme. La promiscuité de la villa, l’oisiveté des vacances et les tenues légères de l’été facilitaient bien des choses. Elle n’habitait pas tout près de chez moi et il me fallait toujours attendre d’être seule pour lui téléphoner et à chaque fois inventer de nouveaux subterfuges pour aller la retrouver.
    
    La rentrée est vite arrivée, je suis retournée au lycée. Dans le même temps, elle a trouvé un travail ; nos rencontres se sont encore espacées. Je sentais que notre relation s’étiolait. J’étais triste mais j’avais toujours su que cela ne pourrait pas durer.
    
    Pendant une dizaine de jours, je ne suis plus arrivée à la joindre. C’est elle qui m’a téléphoné. Ce fut la seule fois. Elle savait à peu près quand j’étais seule chez moi mais, pour ne pas éveiller les soupçons, il ...
    ... était convenu que, sauf urgence, c’était toujours moi qui l’appelais. Si elle était tombée sur ma mère elle aurait prétexté un simple coup de fil de courtoisie.
    
    Florence voulait qu’on se voie dès le lendemain. Au son de sa voix je sentis qu’il se passait quelque chose.
    
    Ce rendez-vous fut le dernier. Elle venait de rencontrer une fille, une espagnole de passage à Paris. Cette fille rentrait chez elle le surlendemain et Florence plaquait tout pour la suivre. Elle me demandait de garder le silence jusque-là.
    
    J’étais touchée qu’elle n’ait pas voulu disparaître sans me donner d’explication.
    
    Nous fîmes l’amour une dernière fois. Après tout elle l’avait fait avec l’Espagnole avant de rompre avec moi, elle pouvait bien le faire avec moi avant de partir avec elle.
    
    Je la quittai en lui promettant de ne rien dire. De toute façon, comment aurais-je expliqué avoir eu connaissance de ses projets ? Je n’étais pas censée avoir eu de contact avec elle depuis que nous étions revenues.
    
    Dans les jours qui suivirent, j’entendis effectivement mes parents parler de ce départ soudain. Mon père compatissait avec son ami et ma mère n’avait dans ses paroles que du mépris pour Florence. Cela me faisait mal. Heureusement cet événement cessa vite d’être le sujet de leurs conversations.
    
    Pour ma part je l’imaginais filant le parfait amour avec une belle ibérique. J’étais heureuse pour elle.
    
    Quelques semaines plus tard, j’ai rencontré une autre fille, prénommée Agnès, avec qui je vivais ...