1. Les frasques de Clara. Séverine.


    Datte: 25/04/2019, Catégories: fh, fbi, alliance, hotel, amour, volupté, Masturbation intermast, 69, pénétratio, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... seins.
    
    — Suce, lèche, fais-moi jouir ! Attends… moi aussi. Viens, en 69, oui !
    
    Et nous jouons la bête à deux dos, sans retenue, roulant sur le lit, inversant la position. La tête prise entre ses cuisses musclées elle me maintient comme un affamé sur sa chatte brûlante, pendant que sa bouche, voracement, m’engloutit.
    
    Clara est déchaînée, et nous fait rouler, passant tour à tour du dessus au-dessous, nous disputant la position dominante.
    
    J’en profite, coquin, pour énerver sa rosette, tentant une langue, un doigt, décidé, un jour à explorer cette voie… sachant qu’elle y pense aussi.
    
    D’abord elle accepte, sursautant, accompagnant ma tentative, mais elle rugit, se dégage, grommelle : « Une autre fois, sois patient… cochon ! »
    
    Sa bouche est chaude et gorgée de salive, ses mains m’arrachent les bourses, sa langue ravageuse, pendant que la mienne, pointue, la pénètre, vrille, pointe son clito, ou à pleine bouche absorbe son abricot palpitant, dans un ruissellement qui m’inonde.
    
    Ses fragrances m’enivrent, me poussent, me dopent à faire plus, encore plus… lui arrachant des gémissements et des râles qui redoublent mon excitation.
    
    Quand enfin elle jouit dans ma bouche, à m’étouffer, je me lâche à mon tour, me cambrant, en plusieurs contractions, ses mains crispées sur mes cuisses.
    
    Elle n’en perd rien, dans des bruits de succions exagérés et des petits cris, jouant avec ses cheveux sur mon sexe. « Un régal ! » conclut-elle en soupirant.
    
    Torride ! Clara est ...
    ... décidément une Formule 1 du sexe, des étreintes extrêmes.
    
    Sa façon de donner, de se donner… il faut suivre !
    
    Hypocrite, j’ai une pensée pour Laure qui prend le même chemin…
    
    o-o
    
    Nos langues, avec encore le goût de notre intimité, nos bouches humides et en feu, les muscles douloureux, nous récupérons, essoufflés, bras et jambes mêlés.
    
    — Jean-Pierre, Jean-Pierre… murmure-t-elle, tu me promets, ne me laisse pas, j’ai besoin de toi, c’est pas seulement sexuel… je sais pas l’expliquer !
    
    Je me redresse, cherchant la tête et la queue de notre désordre. Je lui caresse les cheveux, le visage.
    
    — Tu m’aimes ? C’est ça ? lui demandé-je, inquiet.
    — Oui, Non… Laure t’aime, oui… Moi, c’est autre chose, je sais pas. La place est prise.
    
    Elle soupire, me caresse d’un doigt les lèvres.
    
    — Moi, c’est aussi et beaucoup les femmes. J’aime baiser, tu comprends ? Je t’aime, oui. Mais je ne ferai pas ton bonheur. Alors je prends, je ne pense pas à demain, avec toi…
    — Mais Arnaud ? Tu vas te marier !
    — Je l’aime bien. Son milieu, sa famille, c’est pour moi. Je m’y sens bien. Le rôle de la bourgeoise à double vie, faut en avoir les moyens…
    — Une double vie ?
    
    Elle éclate de rire, me fixe les yeux pétillants.
    
    — Oui, pourquoi pas ? Je m’en sens les épaules. Un mari, des amants, des maîtresses ! L’apparence d’une vie rangée, et hop !
    
    Une lueur de tristesse, de lassitude perce dans son regard. Je la sens prisonnière mais s’accommodant de ses pulsions, de son tempérament ...
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