Le club de vacances (2)
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: yba75, Source: Xstory
... se retourna pour se baigner, se laver de mon foutre, bref se faire digne de retrouver son petit monde. Mais juste avant de plonger elle effleura mon sexe, encore sorti au dessus de mon maillot du bout des doigts cette fois, « il est très doux, très…à ce soir ? au fait je m’appelle Isa… »
Le jeudi et le vendredi qui suivirent nous parurent bien courts. Nous étions deux adolescents amoureux, retrouvant des sensations perdues depuis plus de vingt ans. En public il nous arrivait de jouer à nous effleurer en cachette et c’était à celui qui prodiguerait ainsi à l’autre la caresse la plus intime, je faillis gagner quand je réussis à glisser ma main dans son débardeur pour lui masser un téton dans un coins discret du bar, mais elle se surpassa en embrassant mon sexe par dessus mon pantalon, en se penchant pour ramasser un briquet qu’elle avait fait tomber à dessein.
En privé, nous nous jetions l’un contre l’autre, je ne lui laissais même pas le temps de se déshabiller, juste se défaire pour me permettre d’embrasser ses minuscules seins, d’écarter sa culotte pour lécher sa fente odorante et trempée avant même que je la touche. La plupart du temps elle finissait par enrouler ses jambes autour de ...
... ma taille pour venir s’empaler sur ma queue qu’elle avait auparavant masturbée, ou alors elle se retournait en écartant ses fesses, sa robe a ses reins ; pour m’offrir son anus encore étroit. Une fois que je la sodomisais en lui faisant dire son plaisir d’être ainsi enculée elle m’avait avoué que jamais son mari n’avait eu ce droit lui, me traitant de salaud obsédé …pour son bonheur.
Comme beaucoup, et comme nous aussi, ils quittaient le village le samedi matin, malheureusement eux vers Bastia puis Lyon et nous vers Ajaccio et Paris, mais ce matin là encore, j’eus le privilège de me faire manger la queue, il n’y a pas d’autre mot, tandis que son mari finissait de charger sa voiture et que ma femme réglait les ultimes frais. Je vous ai déjà dit la tendre dextérité de ses baisers, mais je vous ai pas encore raconté les transes dans lesquelles elle me mettait lorsqu’elle me suçait. Jamais une fille ne m’avait branlé si adroitement en embrassant mon gland, en le lappant, jamais la bouche d’une fille ne s’était fait si profond fourreau pour faire jaillir mon foutre, et surtout jamais je n’avais vu une fille sourire si joyeusement, en se délectant de ce jus épais.
Et jamais je ne l’ai revue.