1. Le club de vacances (2)


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Erotique, Auteur: yba75, Source: Xstory

    ... contempler ce cul resté blanc sous le maillot de bain. Je glissai ma main entre ses cuisses sous son ventre, je savais trop qu’elle adorait cette façon d’être saisie, de sentir la touffe de sa chatte emprisonnée dans ma paume et de se frotter la vulve sur ma paume en ondulant du bassin. Son envie se fit plus pressante encore et elle roula sur le côté dans cette position en chien de fusil qu’elle affectionnait, dos creusé pour mieux offrir sa fente. Je guidai ma queue au bord de celle-ci puis lui saisit les hanches. A chaque coup de rein je sentais son con s’ouvrir plus loin et elle m’encourageait de râles rauques, jusqu’à ce que je décharge en elle un jet brûlant qui la fît gémir et se cambrer plus fort. Je restai un long moment couché contre elle, ma bite encore prisonnière de son ventre, la sueur de son dos se mêlant à celle de mon torse. Je lui embrassais les épaules, la nuque…mais déjà mes pensées repartaient vers l’autre !!! Les enfants rentrés, ma femme s’était endormie d’un sommeil de plomb, tandis que je restais dans le noir à ébaucher mille scénarios tous aussi irréalistes les uns que les autres. Je finis par m’endormir, secoué au milieu de la nuit par un rêve où se mêlait le cul divin de mon épouse et les petits seins de l’inconnue pour composer une femme que je labourais sans répit, mais qui m’exhortait à chaque fois à la baiser mieux, plus fort, plus longtemps…
    
    Le réveil fut douloureux, vous vous en doutez bien. Ma verge souffrait encore des coups d’ongles de ...
    ... l’inconnue et des irritations des ébats nocturnes avec mon épouse. Le temps s’était mis à l’unisson de mon humeur, une pluie à vous faire regretter la Bretagne s’abattit en fin de matinée et persista jusqu’au soir. Rien donc pour me distraire de mon obsession : comment arriver tout à la fois à me venger de cette garce tout en finalement satisfaisant à ses appétits ? Arrivé après eux le soir au restaurant je ne cherchai même pas à m’attabler près d’eux, je crois même que je fis tout pour éviter son regard.
    
    Lundi, mardi…les jours passaient et je me sentais envahi d’une gêne de plus en plus teintée de honte. Il faut que je vous dise tout de même que la seule fois où je l’avais approchée , ou plutôt où elle m’avait approchée, cala n’avait été que pour me lâcher un cinglant et moqueur « je n’ai rien senti !! Vraiment rien, et je crois que je ne sentirai jamais grand chose »Non mais quelle salope !
    
    Mercredi. Le village de vacances ne faisant jamais les choses à moitié, sa plage privée avait le bon goût d’être bordée à une extrémité d’une petite anse rocheuse propice aux observations sous-marines…Pas seulement des poissons d’ailleurs car je dois avouer y avoir aussi reluqué par en dessous quelques jolies baigneuses notamment cette mère de famille aux formes généreuses dont je vous ai déjà parlé, qui poussait en plus le bouchon jusqu’à plonger en monokini. J’avis donc eu cette chance de contempler ainsi sous l’eau ses seins lourds et blancs lentement bercés par les vagues, et ...
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