1. Le club de vacances (2)


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Erotique, Auteur: yba75, Source: Xstory

    Je n’ai jamais su ce qui s’était passé ensuite dans leur bungalow, mais le soir au restaurant du village ils apparurent comme à l’ordinaire. Elle avait seulement troqué son pantalon et son débardeur contre une robe de lin blanc assez ajustée mais trop opaque pour savoir quels dessous elle cachait.
    
    Cette fois-ci toutefois il me semblait bien qu’ils évitaient notre table, tout comme moi j’évitais à vrai dire son regard. Même si j’éprouvais beaucoup de peine à me concentrer sur la conversation familiale, je réussis à me contenir jusqu’aux desserts. Ceux-ci étaient en effet dressés sur un buffet où chacun allait se servir, provoquant parfois quelques embouteillages autour des plats les plus prisés. C’est dans cette cohue que je décidai de reprendre l’initiative, me levant un peu après elle, il me fut facile de venir la coller, de lui effleurer les reins et en lui glissant à l’oreille la phrase la plus vulgairement vicieuse qui me venait à l’esprit « demain ce n’est pas mon doigt que tu auras dans le cul salope » avant de me reculer suffisamment loin pour qu’elle ne puisse répondre sans élever la voix. En maîtresse femme, elle ne réagit pas, sans même un haussement d’épaule elle retourna s’asseoir aux côtés de son mari, et jusqu’à la fin du repas ne regarda même pas dans notre direction.
    
    L’esprit trop occupé à savoir comment j’allais agir le lendemain, je craignais que ma femme fasse assaut de tendresse, ce qui ne manquât pas d’arriver dès notre retour au bungalow, ...
    ... avant le retour des enfants. Elle s’était lovée contre moi dans le chemin, et nous avions échangés quelques baisers qui n’avaient pas réussi malgré toute à me distraire, mais une fois la porte passée c’est à pleine bouche qu’elle m’avait embrassé venant coller son bassin au mien avec des petits gémissements d’envie. J’adorais quand elle était ainsi, quand je retrouvais sous la sage épouse l’étudiante délurée qui osait à l’époque me sucer en voiture dans un parking sombre quand elle ne m’avait pas vue depuis plus de deux jours et se laissait fouiller le ventre dans des petites rues désertes du 14eme arrondissement, les cuisses malgré tout un peu serrées par la peur d’être vue, peau blanche presque laiteuse dans la pénombre.
    
    Nous avons peu de temps avant le retour des enfants, aussi nous nous dépêchions de nous défaire pour nous retrouver nus sur le lit, le les cuisses déjà ouvertes, pressées de me recevoir et moi mon pieu (c’est ainsi qu’elle l’appelait quand elle le voulait ardemment) bien dressé, mais portant encore des tracs d’ongles suspectes qu’heureusement elle ne voyait pas. Même si elle n’avait jamais voulu me le céder, ou précisément peut-être à cause de cela, j’ai toujours bandé à mort sur le cul de ma femme, sur ses fesses rondes soulignées par la minceur de sa taille et la façon qu’elles avaient de rougir sous la moindre caresse appuyée. Aussi, au lieu de céder à son envie d’être pénétrée de suite je la fisse retourner à plat ventre sur le lit pour le plaisir de ...
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