1. La lecture chapitre 8


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Effrontée, Source: Hds

    ... petit à petit, je me relâche mon violeur me susurre à l’oreille.
    
    - Tout doux ma belle. Tout doux. Tu vas connaître un grand plaisir.
    
    Il termine sa phrase et je sens sa main s’abattre sur ma fesse avec une violence inattendue. Je pousse un cri de surprise mais aussi de douleur. Instinctivement je resserre mes cuisses quand une autre claque s’abat sur mon derrière. Je veux lui dire d’arrêter mais aucun son ne sort de ma bouche.
    
    - Tout doux Chantal. Tout doux. J’imagine tes fesses rougies par cette fessée et cela m’excite. Imagine à ton tour qu’on te regarde, que de nombreux hommes assistent à ta débauche. Tu aimerais ?
    
    Je n’arrive encore pas à répondre. J’ai la certitude que nous ne sommes pas seuls. Et l’excitation s’accroît à cette idée.
    
    - Réponds-moi s’il te plait.
    
    Son ton s’est radouci
    
    - Vous savez que j’aime qu’on me regarde. Qui est-il ?
    
    - Je ne sais pas bien sûr ! Ou plutôt je ne les ai pas vus.
    
    - Ils sont plusieurs ?
    
    Au lieu de me répondre, il se place de côté et s’éloigne de moi. Il me laisse là, offerte à la vue d’inconnus, nue. ...
    ... Je sens que je mouille de plus belle. La situation est fort excitante et pour rien au monde je souhaite enlever mon bandeau.
    
    - Cambre toi bien Chantal. Je veux que tu plaises à ces yeux qui te regardent.
    
    Sans hésiter, je m’exécute, me cambrant au maximum pour faire ressortir mes rondeurs.
    
    - Très bien petite pute. Tu es obéissante.
    
    Au lieu de me blesser ces mots me chauffent les entrailles. Pas besoin de voir, il sait que je lui obéis.
    
    - Maintenant montre leur ton sexe et ton petit trou. Ouvre toi.
    
    Et encore une fois, la tête appuyée sur le dossier du fauteuil pour libérer mes mains, j’écarte les deux globes de mes fesses pour offrir mon intimité à ces voyeurs. Le silence qui suit est lourd. Personne ne bouge, si bien que j’en arrive à douter d’une quelconque présence.
    
    - Chantal, tu veux qu’on te baise ?
    
    - Oui monsieur. Mais vous, j’ai envie de vous.
    
    - Ton mari le saura-t-il ?
    
    - Comme vous voudrez, monsieur.
    
    C’est à cet instant que je perçois nettement le grincement d’une chaise au fond de la pièce. Quelqu’un s’est levé.
    
    (à suivre) 
«12345»