1. Pauline à Marseille (8)


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... autorisés. Au comble de la frustration, la jeune fille se donnait sans aucune retenue, étonnant ses suborneurs par sa disponibilité et son absence d’inhibition.
    
    L’hiver puis le printemps passèrent ; Jacky la fit venir dans le bar quinze jours avant le jour de la fin de ses épreuves. Pauline entra derrière Jamel et se déshabilla devant le comptoir sans attendre d’ordre. Elle s’agenouilla face à Jacky, cuisses écartées, et croisa les mains sur sa nuque, coudes bien écartés.
    
    Jacky ricana : Pauline n’avait plus rien de la jeune fille bien comme il faut qui était entrée se désaltérer dans son bar un an plus tôt. Elle avait un peu maigri, ce qu’il trouvait dommage. Mais Jamel lui faisait faire du sport tous les jours et son corps svelte avait gardé toute sa tonicité. Sa peau était uniformément et modérément hâlée, débarrassée de tout poil superflu. Ses cheveux blond pâle coupés courts dégageaient son cou gracile. Une vraie beauté qui lui avait rapporté gros.
    
    — Pauline, il est temps que je te ...
    ... libère ; tu vas pouvoir revenir chez ton père bientôt.
    
    — Monsieur, j’aimerais rester avec vous. Et avec Jamel.
    
    — Il veut de toi ? s’étonna hypocritement le tenancier en regardant le géant Noir.
    
    — Oui Monsieur. Je suis prêt à la garder. Pauline est courageuse, docile et très belle. Elle reste avec moi mais travaille chez vous, si vous l’acceptez.
    
    — Soit. Tu vis toujours chez tes cousins ?
    
    — Oui, et Pauline sera à leur disposition comme à la mienne.
    
    — Bien, ça lui fera quatre hommes à satisfaire, minimum. Je suis d’accord pour qu’elle reste, mais je la veux dans mon bar les mardis, vendredis et samedis.
    
    — Trois jours complets ? demanda Jamel. C’est d’accord.
    
    — Allez, Pauline, suce. Montre-moi que tu es une bonne élève. Ensuite, je te mettrai une raclée avec ma ceinture avant de t’enculer. Après, tu attendras dans les chiottes, mes clients seront très contents de revoir leur petit urinoir. Tu es contente ?
    
    — Oui, Monsieur. Vous êtes celui qui m’a fait comprendre ma vraie nature.
    
    FIN 
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