1. Pauline à Marseille (8)


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Le père et le fiancé se regardèrent une seconde avant d’opiner et de se lever. Ils se dirigèrent vers la pièce désignée et Pauline n’eut d’autre choix que de les suivre. Elle referma la porte derrière elle et s’immobilisa, ne sachant pas quelle conduite adopter avec les deux hommes. Ils décidèrent pour elle.
    
    — Mets-toi à genoux, salope. Viens nous sucer, ordonna son père.
    
    — Ensuite on t’enculera jusqu’à l’os.
    
    Ne pouvant retenir des larmes de honte, Pauline hocha la tête et s’agenouilla lentement devant eux. Ils ouvrirent leurs pantalons et exhibèrent leurs sexes en même temps, deux belles verges qui prirent rapidement de l’ampleur devant le nez de la jeune fille. Surmontant sa gêne elle prit une bite dans chaque main et les caressa, les sentant durcir entre ses doigts. Celle de son père était pâle et sillonnée de grosses veines sombres, épaisse mais pas très longue ; celle de son fiancé, brune et pourvue d’un gland proéminent, était plus longue mais moins grosse.
    
    Sans attendre, Pauline commença à distribuer des coups de langue sur les glands qu’elle avait décalottés avant de les prendre en bouche l’un après l’autre. Dire qu’il y a peu, faire l’amour avec son fiancé était hors de propos. Quant à son père, n’en parlons pas. Le tabou de l’inceste était une barrière infranchissable.
    
    La jeune fille mesura sa déchéance quand son propre père la sodomisa juste après avoir extrait le gros gode de ses reins. Ses muscles étaient tellement élargis qu’elle ne ressentit ...
    ... aucune souffrance autre que morale. Dans un état second, Pauline se retourna, toujours à quatre pattes, pour nettoyer de sa langue la verge souillée de son père, s’offrant alors à Jules-Henri qui l’investit d’une poussée violente. Les larmes aux yeux, elle retint un gémissement de désarroi ; elle aimait qu’il la défonce en violents coups de boutoir, en claquant ses fesses des deux mains.
    
    Ils abusèrent de la jeune fille pendant une heure, ne lui faisant grâce d’aucune humiliation. Quand ils partirent sans un regard pour elle, Pauline gisait sur le sol, essoufflée et l’anus douloureux. Elle se redressa en grimaçant et revint dans le salon, nue et misérable. Son père et son fiancé étaient partis, elle soupira de soulagement. Jamel la toisa, l’air mauvais.
    
    — J’espère que tu as pensé à remettre le plug, salope. Montre ! Tu l’as oublié, bien sûr. Pour la peine, je vais en choisir un que tu n’oublieras pas, crois-moi.
    
    De fait, Jamel ouvrit un placard et en sortit un plug noir énorme, en forme de ballon de rugby strié comme une grenade. La partie étroite en était bien plus épaisse que la plus large du plug précédent. Il le montra en ricanant devant une Pauline éperdue et fataliste. Elle sanglota quand il l’enfonça dans son anus sans lubrifiant, mais ne regimba pas.
    
    C’était sa punition, voilà tout. Si Jamel avait décidé de lui enfoncer un plug si épais pour la punir, elle l’acceptait. Pourtant elle eut mal tout le temps qu’il força ses reins. Et même après, quand elle sentit ...
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