Pauline à Marseille (8)
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... ce gigantesque intrus la dilater à la limite de la douleur, elle comprit qu’elle ne pourrait pas s’y habituer. Il pesait sur sa vessie, la minait par sa seule présence. Elle n’arrivait plus à marcher normalement, écartant les genoux pour soulager son bas-ventre.
Jamel l’enferma pour la nuit dans un réduit minuscule sans fenêtre. Les poignets menottés devant elle à un gros anneau scellé dans le mur, elle subit une sévère correction à coups de ceinture, comme monsieur Jacky l’avait exigé. Il frappa d’abord son dos et ses fesses puis exigea qu’elle se retourne pour attendre sa poitrine et son ventre doux. Ensuite il exigea une fellation profonde qu’elle eut du mal à pratiquer, attachée comme elle l’était.
Pauline dormit mal tant la douleur ravageait son corps ; entre le plug trop gros et la violence de la punition reçue, elle ne pouvait trouver une position adéquate. Elle pleura longtemps sur sa déchéance avant de sombrer dans un sommeil agité et peuplé de cauchemars.
Quand Jamel ouvrit la porte de son réduit, elle tourna des yeux bouffis de sommeil. Puis elle vit la ceinture qu’il tenait dans sa main droite, doublée pour faire plus mal, et commença à pleurer et supplier.
— Non, s’il vous plaît, je serai obéissante, je vous le jure ! Je ferai tout ce que vous voulez, tout !
— Ferme-la. Bien sûr que tu feras tout ce que je dis. Mais Monsieur Jacky a dit : une rouste le matin, une le soir ; et c’est le matin.
Fataliste, Pauline se mit sur le ventre et exposé ...
... son postérieur déjà durement marqué. Son dos et ses fesses étaient couverts de longues stries violacées et boursouflées, témoins de la punition de la veille. Il lui sembla que son bourreau retenait ses coups, néanmoins à la fin elle sanglotait à faire pitié.
— Bon, file te laver ; tu peux enlever le plug et nettoyer ton cul, il va beaucoup servir aujourd’hui. Tu vas recevoir des potes toute la journée et ils ne prendront pas ta chatte. Tu as une heure, petit déjeuner compris.
À partir de 10 heures du matin, Pauline fut donc mise à disposition des potes de Jamel et de ses cousins. Pendant huit heures sans interruption elle dut offrir son anus et sa bouche à chacun d’eux. Et ils n’étaient pas particulièrement tendres. Pauline en arrivait à penser que ce qu’ils aimaient, c’était de la faire souffrir en la prenant le plus violemment possible sans se soucier d’elle. Ou plutôt si, ils semblaient prendre plaisir à la voir pleurer et crier sous leurs assauts brutaux.
Mais Pauline comprit vraiment que cette année serait difficile quand Jamel commença à la prêter aux caïds Marseillais. Parfois une seule soirée, plus souvent plusieurs jours, jusqu’à une semaine complète. Elle subissait les pires outrages sans avoir le droit de jouir.
C’était sûrement le pire pour Pauline, de vivre dans un océan de stupre et de ne jamais jouir. Dans ces conditions, son vagin était toujours trempé, et pourtant ignoré par tous les mâles qui la prenaient : seuls son anus et sa bouche étaient ...