1. Deux jolies petites perles


    Datte: 24/04/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois, Auteur: Franz Eugen, Source: Revebebe

    ... plus, elle me dit qu’elle en avait marre d’être végétarienne, sexuellement, s’entend.
    
    — Tu sais, je n’ai jamais eu le culot d’entrer dans un sex-shop et de m’acheter un vibro-masseur. J’en avais bien envie pourtant. Alors à la place je me suis rabattue sur les concombres et les courgettes, et même parfois les aubergines. Ça dépendait de ce que Maman rapportait du marché. Après je les lavais et je les remettais à leur place… Tu en as mangé souvent sans le savoir… (Rires) Mais maintenant, j’ai de plus en plus souvent des envies de chair fraîche, tu vois ce que je veux dire ? (Re-rires).
    
    Au fil des jours nos jeux amoureux étaient de plus en plus audacieux. Nous étions loin des petits câlins que j’avais vaguement promis au départ car je dois l’avouer mon sentiment de culpabilité s’était considérablement émoussé. Loin de m’en plaindre je me prêtais avec la meilleure volonté à toutes ses demandes. Nous prenions l’un et l’autre les positions les plus extravagantes afin que je puisse mieux la caresser. Une fois, après l’avoir masturbée longuement, je retirai mon index de son vagin dégoulinant et je l’enfonçai délicatement dans son petit trou. Elle se figea brusquement et me traita de canaille. Croyant qu’elle refusait que je dirige mes caresses de ce côté-là, je stoppai net ma progression mais deux secondes plus tard elle murmura :
    
    — Qu’est-ce que tu attends pour continuer ?
    
    Plus tard, ma langue remplaça mon doigt et si j’en crois ses gémissements répétés, elle y prit ...
    ... grand plaisir. Quand je m’arrêtai, elle se retourna, se serra tout contre moi et comme elle aimait bien le faire, me murmura à l’oreille comme si l’on risquait de l’entendre :
    
    — Tu es un cochon, Tom… le roi des cochons… mais j’adore. Dommage que ta langue n’aille pas aussi profond que ton doigt.
    
    Alors que je souffrais moi-même à l’idée de commettre un énorme péché et de la crainte de ne pas savoir mettre en temps voulu un terme à nos effusions, elle était entièrement décomplexée, ayant intégré dès le début la situation nouvelle créée par les révélations de Me Lussac. Je la sentais heureuse comme si les ébats sexuels auxquels elle se livrait avec tant d’audace, étaient l’exutoire aux pénibles moments qu’elle venait de vivre récemment. Malhonnêtement j’essayais de me convaincre qu’en lui donnant du plaisir en quelque sorte j’atténuais sa peine. Un soir, après de longues caresses que je lui prodiguais maintenant avec de moins en moins de scrupules, elle se me dit :
    
    — Tu es un amour de frère (je n’aimais qu’elle me dise que j’étais son frère) et ça me fait de la peine de te laisser sur ta faim.
    
    Je me doutais bien que cette petite phrase était annonciatrice de quelque nouvelle polissonnerie de sa part. Ce disant elle saisit mon sexe à pleine main et tout en le caressant précautionneusement :
    
    — Je crois que Gros Minet s’ennuie dans son coin. Pauvre chou, tu es puni. Ton maître ne te laisse même pas rendre visite à ta petite chatte…
    
    Elle ponctua ses phrases de baisers ...
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