Deux jolies petites perles
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
jeunes,
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
confession,
amourcach,
prememois,
Auteur: Franz Eugen, Source: Revebebe
... qu’elle était entièrement nue.
— Hier soir j’avais passé une chemise pour venir chez toi mais d’habitude je dors nue. Ça te fait rien j’espère ?
Si, ça me faisait beaucoup de choses, au contraire. Et elle n’allait pas tarder à s’en apercevoir. J’ôtai mon boxer pour être à l’unisson. Elle se serra à mon côté, ses jambes écartées chevauchant ma cuisse gauche. Puis me dit :
— Gros Minet à l’air en pleine forme ce soir… J’aimerais que tu me grattes le dos, comme hier soir. Tu te souviens ?
Bien sûr que je me souvenais et dans les moindres détails. À n’en pas douter, elle entendait cette fois me faire participer activement à ses émois. Et elle y réussit parfaitement. Tandis qu’elle m’embrassait par petites touches sur les lèvres, je caressais son dos jusqu’au bas des reins, ce qui lui provoquait de légers frissons. Je me tournai légèrement de son côté ainsi ma main gauche caressait ses cheveux et ma main droite put plus aisément se glisser entre ses fesses. Cette fois, j’écartai rapidement ses petites lèvres trempées de sa liqueur et introduisis deux doigts dans son vagin. Elle poussa un grand soupir. Je m’immobilisai soudain repris par mon anxiété de ne pas me comporter comme se doit d’être un grand frère. Elle comprit mon angoisse et tenta une plaisanterie pour me débloquer
— Eh bien ! Monsieur, vous me faites languir.
Soudain, je ne pensai plus à rien sinon à donner du plaisir à cette fille auprès de moi. Il n’était plus question de savoir qui elle était, ...
... petite sœur ou pas. C’était une fille tout simplement. Je ne m’appartenais plus. Elle s’agitait de plus en plus fort contre moi sous la caresse de mes doigts sur son clitoris et ses petites lèvres. J’introduisis deux doigts dans son vagin ruisselant et la masturbai gentiment et comme la veille, elle fut bientôt secouée par des spasmes de plus en plus violents. Je la laissai quelques instants reprendre son souffle et ses esprits tandis que ma main mouillée caressait son petit cul bien rond.
— C’était bon, Mademoiselle ? Dites donc vous êtes trempée.
— Excusez-moi, Monsieur, mais il y a un individu qui n’arrêtait pas de me tripoter.
— C’est très mal, vous savez. Une jeune fille comme vous ne devrait pas se laisser faire ça par le premier venu.
— Je le sais bien, mais que voulez-vous, je ne peux rien dire… il fait partie de la famille.
Elle gloussa de rire. Moi j’étais très gêné mais tout de suite elle me cloua le bec avec un baiser interminable. Je ne vais pas raconter par le menu les longues et délicieuses caresses qui suivirent. J’étais toujours sur ma réserve, inhibé à tort ou à raison par le côté disons à demi incestueux de notre relation. Perrine était par contre totalement détendue et savourait sans la moindre gêne les plaisirs que nous nous donnions mutuellement maintenant à tout moment. Le seul reproche qu’elle me faisait de plus en plus souvent était de ne pas vouloir lui faire l’amour. Mais là-dessus, je tenais bon. Une nuit, comme je lui refusais une fois de ...