1. La rentrée


    Datte: 22/04/2019, Catégories: fh, école, Masturbation pénétratio, couple, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... temps de rentrer.
    — Je vous suis : moi aussi je n’attendais qu’un prétexte pour partir.
    — Vous voulez que je vous ramène ?
    — Non, je suis motorisée.
    
    Elle est étonnée par la mine déconfite de son collègue. Sur le trottoir, l’air frais lui redonne une certaine lucidité.
    
    Il est plus de minuit quand elle se glisse le lit conjugal. Son mari ne s’est même pas rendu compte de son retour, il dort profondément. Couchée sur le dos, elle n’arrive pas à dormir. Les événements de la soirée se bousculent dans son esprit. Elle se souvient de l’excitation qu’elle a suscitée sur la piste de danse, et d’André ; elle ne pensait plus susciter d’intérêt pour un homme. Elle regarde son mari tourné vers le mur. Pourquoi, depuis un an, n’éprouve-t-il plus de désir pour elle ?
    
    Sa tête retombe sur l’oreiller. Elle ferme les yeux, mais toutes les images bouleversent son esprit, et son corps demande des caresses. Sa main effleure ses mamelons ; son cœur s’accélère et son souffle est court. Elle se fige soudain : son mari vient de grommeler. Elle reste statique bloque sa respiration ; le souffle régulier de son partenaire reprend. Sa main se glisse entre ses jambes.« Mon Dieu… Ma toison est toute trempée ! » Son index trouve le clitoris. Elle serre les dents, les pupilles dilatées, les lèvres pincées. Son index frotte avec frénésie le petit morceau de chair turgescent. Malgré le contrôle de son corps, elle ne peut laisser échapper un petit cri et une forte secousse qui balaie son corps ...
    ... lors de la délivrance ; des vagues de plaisir irradient dans tout son corps.
    
    La semaine se termine, et tous les enseignants ont retrouvé leurs classes et leurs travaux universitaires. Elle a croisé plusieurs fois André dans les couloirs, mais juste un bonjour, bonsoir, sans plus. Rentrée à la maison, son mari lui rappelle qu’il part pour l’Angleterre pour une semaine. Le soir, les enfants couchés. Comme d’habitude, après une soirée canapé, ils se retrouvent au lit. Sagement couchée sur le côté, elle commence à somnoler quand une main débute des caresses molles et mécaniques. Comme d’habitude, elle feint de ne se rendre compte de rien. La main progresse, dépasse l’élastique de la culotte et force le tissu. Elle enlève sa culotte, se place sur le dos et attend. Ce soir, il est pressé : après un doigt pour contrôler l’humidité de sa femme, il lui impose une levrette. Il la pénètre. Ce pourrait être agréable, son sexe est de bonne taille, mais la saillie ne dépasse généralement pas les deux minutes. Une fois de plus, elle reste sur sa faim et, la tête appuyée sur l’épaule de son mari, elle sent sa semence couler entre ses cuisses. Il s’endort. Elle est submergée par une tristesse qui se transforme en rage.
    
    Au matin, devant le bol de café, sa rage n’a pas disparu. Son mari est parti à l’aube, et le week-end risque d’être long. Ses enfants dorment encore. Elle ouvre son ordinateur, vérifie ses mails. Une heure s’égrène ; elle n’a pas envie de faire le ménage. Elle saisit son ...
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