La rentrée
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
fh,
école,
Masturbation
pénétratio,
couple,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... musculature est toujours là, mais enrobée dans une couche de graisse qui ne fond plus, même en pratiquant du rameur de façon intensive en salle.
Ses doigts effleurent ses seins ; un frisson la surprend, ses tétons s’érigent. Elle est surprise, mais elle continue et saisit les pointes et les pince ; elles durcissent, et les frissons reprennent, plus fort, plus ciblés aux creux de ses reins. Elle se couche sur le lit. Ce n’est pas la première fois qu’elle se caresse, bien sûr ; souvent, le soir, dans son lit, alors que son mari dort, elle se livre aux plaisirs solitaires. Mais comme cela, juste en se regardant dans la glace, jamais. Elle déplace sa main entre ses cuisses ; son index écarte ses grandes lèvres et plonge en son ventre. Un deuxième, puis un troisième le rejoignent et, la bouche ouverte, elle imagine un monstrueux sexe la pilonnant, infatigable. Elle ne résiste pas à la vision très longtemps ; elle écarte ses cuisses et enfonce ses doigts au plus profond de son intimité, déclenchant un violent orgasme.
Elle est encore bouleversée quand elle appuie sur le bouton de l’interphone de Cécile. Comme elle ne conduit pas, elle vient la chercher.
— Entre, je ne suis pas prête.
Cécile court dans le salon, uniquement vêtue d’un string. Ses petits seins sautillent alors qu’elle fouille dans son armoire à la recherche de la tenue la plus adéquate pour la soirée.
— Tu es très belle comme cela, Marie.
Soudain elle reste en arrêt et la dévisage.
— Qu’est-ce ...
... qui t’arrive ? Tu n’es pas comme d’habitude ; il y a un problème ?
Marie rougit. Elle lâche d’une petite voix :
— Tout à l’heure, je me suis masturbée devant la glace.
— Et alors, où est le problème ? Ce n’est quand même pas la première fois.
— Si, bien sûr que si ; mais jamais comme ça, dans la journée.
— Bah, il n’y a rien de grave. Et tu as joui ?
— Oui, c’était fort.
Devant le désarroi de son amie, elle remplace le ton goguenard par une voix douce et inquisitrice :
— Ton mari ne te comble plus ?
Elle secoue négativement la tête.
— Maintenant, nous faisons l’amour une fois par semaine, et encore… Toujours les mêmes positions, et il jouit si vite que je suis obligée de simuler. Après je me caresse.
— Tu as essayé de lui en parler ?
— Il élude toujours la discussion ; j’ai l’impression que je ne suis là que pour l’hygiène. J’ai changé de look, j’ai acheté des sous-vêtements sexy ; j’ai même essayé de lui proposer de nouvelles positions : pas de résultat.
— Pauvre chérie, quand je pense que je te chambre avec mes problèmes… Et ça dure depuis longtemps ?
— Depuis la naissance de Lætitia, tout s’est dégradé lentement. Mais depuis un an…
— Tu sais ce que je pense de ton mari ? C’est une sommité dans son domaine, mais un sale con dans la vie ! À tous les coups, il voit une autre femme.
— Tu déconnes complet, explose-t-elle, je m’en serai aperçue !
— C’est toujours la femme la dernière informée, dans une histoire pareille. Tu te souviens du stagiaire, il ...