La rentrée
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
fh,
école,
Masturbation
pénétratio,
couple,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... Les yeux se croisent ; certains sourires sont parfois salaces. Elle sent même une main qui traîne sur sa hanche. La densité augmente encore et les corps se rapprochent, les odeurs de transpiration mélangées aux différents parfums sont entêtantes. Bloquée au centre de la piste, elle se trouve encadrée d’hommes et de femmes ; la musique est forte, et les corps se déhanchent. Par intermittences, un frôlement atteint ses fesses : une braguette, possible. La chaleur et l’alcool absorbé la poussent à une action qu’elle n’aurait jamais pensé exécuter : elle se cambre plus, et le contact est plus fort. Dans un mouvement, elle arrive à se retourner. Ses yeux croisent une personne, la cinquantaine dégarnie, bedonnante : elle reconnaît Gérôme Lancin. Son pantalon est fortement déformé par une belle érection. Il sourit niaisement. Un éclair de lucidité la saisit : elle fend la foule pour retourner à sa table. Elle se retrouve seule devant son verre, cherche son amie, mais ne la discerne pas dans la cohue. Elle est plongée dans ses pensées quand André s’assied à côté d’elle, un nouveau verre plein en main.
— Vous voulez que je vous en amène un autre ?
— Non merci, je crois que j’ai déjà dépassé la dose prescrite.
Elle se rend soudain compte de la tenue indécente qu’elle renvoie : le bustier humidifié par la transpiration ne cache que partiellement les larges aréoles des seins, et les pointes – sans doute encore excitées par le contact du membre gonflé qui tout à l’heure frottait ...
... ses fesses – pointent à travers le tissu. Elle sent la honte empourprer son visage. Désespérément, elle cherche une échappatoire à cette situation ; la seule qu’elle trouve, c’est la fuite. Elle se lève et se dirige vers les toilettes.
Devant le miroir, elle se trouve pathétique : son maquillage est en déroute, et ses seins sont honteusement visibles.« Quelle idée d’enlever le soutien-gorge… À quoi je ressemble, maintenant ? » Elle en est à cette constatation quand Cécile entre.
— Je te cherchais ; c’est André qui m’a informée que tu étais là. Ça va ?
— Ben non, regarde : je ressemble à rien.
— Tu rigoles, tu es magnifique !
— Mais mon bustier est transparent, tu te rends compte ?
— Oui, et alors ? Tu ne t’es pas aperçue comment André te regarde ? Il te mange des yeux. Vas-y, fonce !
— Non, je ne peux pas. Je crois que je vais rentrer.
— C’est ton choix, mais c’est idiot. Rentre sans moi : je pense que j’ai trouvé un véhicule pour rentrer.
De retour à table, le jeune homme qui tout à l’heure conversait avec Cécile s’est incrusté à notre groupe. Enfoncée dans son fauteuil, Marie observe son amie, nageant sans difficulté entre le jeune homme et un collègue. Les deux hommes sont de plus en plus entreprenants, et des mains furtives explorent les formes offertes sans que Cécile ne s’en offusque. Elle est ébahie par l’aisance et l’absence de gêne de son amie. André, un portable vissé sur l’oreille, s’approche de la table, sourit à Marie.
— Je vous laisse, il est ...