1. Mister Hyde 26 - 27 - 28


    Datte: 26/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: LVolante, Source: Hds

    ... Tu n’es qu’un grand malade…
    
    • Et toi une parfaite salope, je n’ai aucun doute à cet égard. Mais elle t’aime ! Tu as bâti votre relation sur un mensonge, à toi de te débrouiller avec ça. Personnellement, je m’en lave les mains. Cependant, si j’ai un conseil à te donner, sois franche avec elle. Continuer à lui mentir ne fera qu’aggraver les choses. Certes, elle t’en voudra mais c’est un cœur d’or, elle te pardonnera. Tout comme tu vas la pardonner de t’avoir traitée comme une merde.
    
    Julie resta coite un instant avant de s’avouer vaincue :
    
    • Je vais lui faire un mal de chien.
    
    • Sans doute… Mais plus le temps passera, plus la douleur sera terrible. Plus vite tu crèveras l’abcès, plus vite elle guérira.
    
    • Et tu tireras les marrons du feu…
    
    • Je n’ai pas besoin de cela pour, selon ton expression : « La dévorer toute crue ».
    
    D’un geste il la congédia puis, sans prêter aucune attention au départ de la jeune femme, il s’empara de son téléphone. Pour lui aussi, le temps de la fuite prenait fin.
    
    ***
    
    Perplexe, Lucile regarda son téléphone dont la batterie venait de lâcher prise en plein milieu d’une conversation hallucinante avec Frédéric. Il faudrait un bon quart d’heure à son appareil pour qu’il retrouve assez d’énergie. Impatiemment, elle se mit à tourner en rond en ressassant chaque mot prononcé par son amant.
    
    ***
    
    Nul besoin d’être clairvoyant pour comprendre que Julie avait avoué tous ses crimes. Ses yeux rougis et ses mains qu’elle tordait dans ...
    ... tous les sens en était une preuve suffisante. Il ne restait plus à Frédéric que de consoler Frédérique des horreurs qu’elle venait d’apprendre. Pour cela, il avait son idée qui ne passait pas par des cajoleries. Il était plutôt du genre à soigner le mal par le mal.
    
    ***
    
    Un à un, Frédéric égrena les vêtements de la femme, les laissant tomber sur le sol. Lorsqu’elle fut nue, il voila ses yeux d’un bandeau tout en susurrant quelques mots à son oreille. La jeune femme acquiesça et attendit, patiente.
    
    Si le donjon d’ici était bien le sosie du sien, Frédéric savait que la commode du fond recelait les fouets et autres martinets qui allaient être utilisés durant la soirée. Il trouverait même sur le sol, à côté, une paire d’escarpins rouge vif qu’il avait l’intention de glisser aux pieds de Frédérique. Cela une fois fait, il lia la « jolie Dame » à la croix de Saint-André et lui demanda encore un peu de patience.
    
    ***
    
    Lorsque la lanière du fouet s’abattit sur sa hanche, Frédérique cria de surprise, pas de douleur. Elle trouva le coup hésitant, Frédéric ne l’avait pas habituée à ça. La seconde atteinte ne fut pas moins molle et la troisième n’eut rien pour se démarquer des précédentes. De plus, l’homme visait mal, n’atteignant que les parties les moins sensibles de son corps. La prenait-il pour une douillette ?... Elle se tortilla pour signifier son incompréhension.
    
    Cela n’eut aucun effet sensible sur la portée du coup suivant mais le cinquième signa un affermissement ...
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