1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’éloge de la fessée (1/1)


    Datte: 19/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... connaissances de la fessée ?
    
    Il faut dire que, rapidement, j’ai compris que j’avais épousé un ivrogne qui rapidement s’est avéré incapable de me baiser, sous couvert de chercher du travail, il partait le matin chercher du boulot et rentrait complètement fait le soir.
    
    Mon diplôme ne me permettait pas de trouver un emploi stable, tout juste des remplacements ou des coupes à domicile grâce à une concierge qui m’avait prise en amitié.
    
    Un jour, devant un restaurant-bar, je vois qu’ils cherchaient une serveuse, je me présente, je suis engagée, rapidement j’ai compris que l’endroit rapportait de sérieux pour boire à Adèle ma collègue.
    
    Dès le premier service, les mains aux fesses par ces ouvriers de chantiers étaient habituelles, ses mains sur mon postérieur m’ont rappelé le plaisir qu’il me manquait de me faire fesser.
    
    Ici, c’était autrement que ma copine se faisait de gros pourboires, je la voyais suivre des clients sans que le patron semble s’offusquer, le lendemain je l’ai suivi, elle les suçait et empochait l’argent.
    
    J’arrivais à huit heures, un jour où son cuistot était encore au marché et Adèle en retard, il m’a reproché de lui avoir volé une sucette lui en déclarant trois alors qu’il est vrai que j’avais avalé quatre fois du sperme.
    
    Il est sorti de derrière le bar avec en main, ce qui s’est avéré être un nerf de bœuf, m’a attrapé par le bras et s’assaillant sur une chaise, il m’a remonté ma jupette que nous devions mettre pour faire venir les clients et ...
    ... m’a fouetté.
    
    C’était la première fois que l’on me fessait le cul à l’air et malgré la douleur, j’ai compris le plaisir que maman avait pris avec mon père lors de la séance avec le battoir.
    
    Mon cul bien fessé et certainement bien rouge, il m’a redressé, posé les fesses qui me brûlaient sur une table où je venais de mettre le couvert et il a fait sortir sa queue avant de me prendre, j’étais trempé et comme il y avait plusieurs semaines qu’Alban était incapable de me baiser, j’ai joui aussi fort que ma génitrice.
    
    • Tiens, salope, j’ai récupéré les cinq euros que tu m’avais piqué.
    
    L’argent que je me faisais me permettait de nous faire vivre, mon mari était cocu, mais comme fréquemment je faisais ce qu’il fallait pour retrouver le nerf de bœuf et la verge de mon amant, je trouvais un certain équilibre.
    
    Ce que j’ignorais, c’est que le bar était frappé de démolition et je me suis retrouvée à rechercher du boulot.
    
    J’ai bien retrouvé des clients du bar qui m’ont baisé dans leur voiture ou camion de service, ma logeuse a recommencé à me trouver du travail, j’allais chaque mois chez un veuf pour lui rafraîchir sa nuque.
    
    Dès la première fois, sur le côté d’un meuble, j’ai remarqué un martinet, il avait dû servir, car il y avait deux lanières qui étaient coupées.
    
    La troisième fois, il est allé chercher une serviette qu’il avait oubliée, je me suis saisi du martinet et j’ai essayé de me fesser avec du mal et sans me faire mal.
    
    • Aimes-tu la fessée ?
    
    J’ai reposé ...