COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’éloge de la fessée (1/1)
Datte: 19/04/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Quand j’entends à la radio que certains pensent interdire la fessée, ils ignorent qu’ils risquent de m’enlever la source du plaisir de ma vie.
Au plus loin où je remonte dans ma mémoire, je vois régulièrement la main de mon père me frapper le postérieur, j’ignore si au début je l’avais mérité, mais par la suite je faisais tout pour l’exaspérer.
J’y arrivais sans mal surtout les jours ou travaillant en poste il finissait à 5 heures et reprenait à 14 heures, il appelait faire la culbute.
Cet horaire où il ne dormait pas se produisait une fois par mois, hélas.
Je dis bien hélas, car comme il se plaignait que je faisais du bruit juste ce qu’il faut pour le réveiller quand il se levait, il m’attrapait et il me fessait.
Cela a duré jusqu’au moment où mon frère s’en est mêlé, je venais de me faire tabasser, j’étais recroquevillée sous la table de la salle à manger et je jouais à le provoquer, a-t-il compris ce qu’il faisait quand il a senti la main le saisir et une magnifique baffe lui caresser le museau.
• Que tu nous touches encore une fois, je te coupe les couilles, idem pour maman, crois-tu que j’ignore ce que tu lui fais subir.
• Laisse Vivian, avec ton père, c’est mon affaire, s’il vous touche encore, c’est moi qui l’émasculerais.
Il a pris cette menace très au sérieux et à partir de ce jour, j’avais beau tout faire, il faisait mine de me choper pour me mettre sur ses genoux et de me fesser, mais chaque fois il reculait.
J’étais frustrée et au fil ...
... du temps je me suis rendu compte que sa main s’abattant par-dessus ma robe et ma culotte, mon père pour moi n’était pas pervers, mais simplement un homme ayant été élevé avec rudesse.
J’ai rapidement compris qu’il compensait son humeur avec ma mère, quand elle a dit que c’était son affaire, j’en ai eu confirmation un soir où je décidais de sortir avec mon frère me ravisant au dernier moment.
Je venais de m’allonger sur mon lit, comme je le faisais fréquemment depuis que j’avais fêté mes dix-huit ans et que je sentais une impunité à jouer avec mon sexe, j’étais vierge, mais j’aimais caresser mon clitoris avec mon doigt jusqu’à avoir des frissons dans le dos.
Ça a commencé par ce qu’il semblait être une engueulade, mais c’était si fréquent chez nous qu’au début je n’y aie pas pris garde puis une cavalcade avec des mots venus de la bouche de mon père.
• Salope, tu vas ramasser, tu veux profiter de l’absence des enfants.
• Oui, tu ne m’auras pas.
• Tu vas voir, ton cul va rougir.
• Je te tiens.
• Ouille, ouille, ouille.
J’ouvre ma porte discrètement, grâce à un jeu de glace, je vois le salon où ils sont, maman est nue, le peignoir que je lui avais vu au moment où Vivian est parti, claquant la porte leur faisant penser que nous étions sorties tous les deux, est au sol.
• Tu la sens celle-là.
• Oui, continue, tu sens comme je mouille.
• Va chercher le battoir, je veux éviter de me faire mal à la main comme la dernière fois, ton cul est de plus en ...