1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’éloge de la fessée (1/1)


    Datte: 19/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... plus résistant à la fessée.
    
    Je vois, maman, se redresser, me faisant voir la verge d’où je suis sortie tendue à mort.
    
    J’entends ma mère farfouiller dans le tiroir et revenir avec le battoir à viande d’une vingtaine de centimètres.
    
    • Laisse-moi te sucer, je veux profiter de ta verge.
    
    • Taratata, couche-toi sur mes genoux, tu veux retarder le moment où je vais te faire rougir les fesses.
    
    Maman lui tend la planche de bois et se couche, le ventre comprimant la verge paternelle.
    
    Combien de fois lève-t-il le bras, je ne saurais dire, ce que je sais, c’est que ma mère se mord le poing pour éviter de hurler, chaque fois sa cible est atteinte.
    
    Je me souviens d’un jour où nous étions rentrés d’un goutter Vivian et moi où notre mère nous a servi debout, déjà ce jour-là avait-elle ramassé, nous verrons bien ce soir.
    
    J’étais loin d’être ignorante des choses du sexe, mais voir ces deux adultes qui plus est mes parents, avoir de telles, dérivent sexuelles eus fait que pour la première fois, je me suis caressée manquant de hurler et ainsi de montrer ma présence.
    
    Mon père certainement a le bras qui lui chauffe, car il laisse tomber le battoir, comme si le scénario était écrit, mère se laisse tomber au sol à genoux, elle prend la verge, la place dans sa bouche et je vois nettement le phallus descendre au plus profond de sa gorge.
    
    • C’est bien ma salope, j’adore que tu me fasses une gorge profonde, oui, monte et descends lentement.
    
    Toujours caché, un moment je ...
    ... touche la porte qui grince, je me jette en arrière quelques secondes, quand je repasse un œil, je vois qu’ils n’ont rien entendu sauf que la situation a évolué.
    
    Ma mère s’est positionnée à quatre pattes, mon père à genoux derrière elle doit la pénétrer, je vois qu’elle aime se faire prendre comme une petite chienne, il la pilonne à grands coups ses bourses devant taper là où elle doit avoir mal.
    
    C’est un tout autre chant qui sort de sa bouche au point que j’aurais aimé ressentir ce qu’elle ressent surtout que pour faire bonne mesure, il lui claque les fesses de nouveau à grands coups de sa main.
    
    Ils jouissent et il la quitte pour partir dans leur chambre, elle le suit, je quitte ma cachette et j’ouvre la porte palière.
    
    • Salut, les anciens, je suis de retour, je vais dans ma chambre.
    
    Le soir comme je le supputais, après le retour de mon frère, notre mère nous sert, mais est incapable de poser ses fesses sur la moindre chaise, tout juste peut-elle s’asseoir sur les coussins du canapé pour regarder la télé.
    
    • Je suis fatigué, demain j’ai mon examen de fin d’année de coiffure, je vais pouvoir trouver du boulot et gagner ma vie.
    
    Surtout ce que je veux, c’est gagner mon indépendance, aussi quand Alban mon aîné de dix ans me propose de me passer la bague au doigt, je m’empresse de dire oui et de m’installer avec lui.
    
    Que dire de mon dépucelage faisant de moi une femme pleine et entière, pas grand-chose, tout juste une petite douleur, mais surtout un manque de ...