1. L'étudiante sodomisée. (6)


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... ou les moches.
    
    Assez peu ragoûtée et regrettant presque d’avoir organisé cette soirée "porte-ouverte", j’écartai les cuisses pour en finir rapidement.
    
    Il s’y jeta tête la première et se mit à me dévorer goulûment l’abricot.
    
    L’animal n’était pas puceau de la langue... ni manchot. Ses gros doigts vinrent s’acharner à me pincer les tétons et il le fit de façon suffisamment experte pour que je sois toujours sur le fil très ténu qui sépare la douleur du plaisir. Sous l’effet de cet hommage simultané à ma chatte et à mes nichons, je ne tardai pas à remuer le bassin en signe de contentement.
    
    Il se mit à genoux et m’invita à poser mes jambes sur ses épaules. Le cul ainsi surélevé, je profitai toujours de son examen génico lingual. C’était surprenant, dans le bon sens du terme.
    
    Ses mains se promenaient sur mon corps et étaient magiques. Les gros doigts boudinés savaient comment me caresser, me palper me pincer, me masser. Ce gars était un surdoué de la paluche, sur mon ventre, dans mon dos, sur mes seins ou mes fesses, ses mains étaient un auxiliaire précieux de sa langue.
    
    Je jouis dans sa gueule comme jamais, à tel point que je lui passai l’envie de boire pour la fin de la soirée.
    
    — Putain, qu’est-ce que tu gicles !
    
    Je ne répondis rien, surprise par ce déversement inédit de cyprine.
    
    — C’est vrai ça, ajouta Issan qui s’était détourné de l’écran. Tu n’as jamais pissé autant.
    
    — J’en conviens.
    
    Le livreur était ravi.
    
    — Quand on a une petite bite... ...
    ... vous voyez, je suis lucide... faut trouver d’autres trucs avec les filles. Mais j’vais quand même essayer de te faire sentir ma queue.
    
    Il me retourna pour m’enfiler le fion.
    
    — Il paraît que tu prends dans le cul ?
    
    — Vas-y.
    
    Mais il faut le reconnaître, je ne sentis pas grand-chose. La trique, malgré son épaisseur, était trop courte pour que je m’éclate. Elle restait au niveau de la rondelle et n’allait pas plus loin. Le gars pourtant kiffait à en croire ses râles et, surtout, la violence de ses mouvements. Lourd, il me propulsait en avant sans oublier toujours de jouer de ses dix doigts. Au final, ce n’était pas désagréable.
    
    Son téléphone sonna et il demanda à Issan de le lui tendre.
    
    — C’est mon pote... Il va pas venir... Il y a aussi un message du patron. Il demande si c’est toujours open ?
    
    — Oui, dis-lui. Bien monté ton boss ?
    
    — Je sais pas. Jamais vu. Je lui réponds.
    
    C’était la première fois qu’on textotait au-dessus de mon dos tout en me bourrant.
    
    — Il demande si je peux lui envoyer une photo.
    
    — OK si on voit pas mon visage. Tiens, Issan, tu nous prends.
    
    — J’aimerais bien te prendre, mais je suis tout mou !
    
    — LOL !
    
    La séance photo dut exciter notre mâle, car il se cramponna solidement à mes hanches, à m’en faire mal, se pencha en arrière et jouit en gémissant.
    
    Je sentis le jus ruisseler abondamment dans ma raie du cul.
    
    Le type se recula, ramassa le plus de sperme possible pour me le faire bouffer.
    
    — Tiens, tu galocheras le ...