1. L'étudiante sodomisée. (6)


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    La routine s’installa à trois comme elle s’était installée à deux. J’attendais toujours mon gang bang avec les gars du sex-shop et j’espérais revoir Dimitri et connaître sa meuf pour essayer un plan à plusieurs nanas.
    
    Je n’avais pourtant pas à me plaindre. Les deux garçons étaient assidus et il n’était pas un jour sans que je me fasse prendre par l’un ou l’autre et le plus souvent les deux. J’avais l’habitude désormais de me balader nue dans l’appart et les gars en firent bientôt autant. Chacun filait mettre un survêtement quand on sonnait à l’improviste.
    
    J’aimais cette situation où le désir des garçons était visible dès qu’il les envahissait. La bite tendue était alors en libre service... et une fois par mois, je prenais exclusivement dans le cul.
    
    Mais ce dont je me rendais compte c’est que j’avais un besoin de nouveauté. Je voulais des bites, toujours des bites, mais pas forcément les mêmes.
    
    Certes, j’aurais pu avoir facilement mon lot de manches à couilles rien qu’avec les lourdingues qui fréquentent le bus, minets en baskets ou fausses racailles en débardeurs et casquettes, les occasions ne manquèrent pas et j’aurais pu balancer plus d’un porc.
    
    Mais je ne voulais en rien déroger à la règle que je m’étais fixée: je ne laisserai aucun homme décider. C’est moi qui irais vers eux. A ce compte là pourtant, mon tableau de chasse n’avançait guère... et même pas du tout.
    
    L’automne pourtant déjà avançait et par un pluvieux dimanche après-midi nous vint l’idée ...
    ... suivante destinée à varier mon ordinaire.
    
    Nous avions forniqué pendant plus de trois quarts d’heure et, comme il arrivait parfois quand nous n’avions pas trop de boulot, nous prolongions dans le lit en regardant des films sur PC.
    
    Tout en visionnant, on continuait les petits bisous, les petites caresses ; je tripotais les sexes mous, les garçons me titillaient les tétons ou le clitoris presque machinalement. Nous pouvions attendre ainsi qu’ils se reposent jusqu’à la prochaine érection. J’aimais bien ces moments où mon excitation ne déclinait pas et j’adorais voir la leur remonter. De plus, le second tour de baise était souvent plus long. Les gars, les couilles déjà délestées, étaient plus résistants au second tour.
    
    L’heure du dîner approchait.
    
    — Dis Anna ?
    
    — Hmmm ?
    
    — Tu aimes le sperme sur ta pizza ?
    
    Je compris immédiatement l’idée qui avait germé dans le cerveau de ce cochon de Léon.
    
    — Sûrement.
    
    — On commande ?
    
    — Clair.
    
    Nous arrêtâmes notre choix, mais, finalement, comme nous n’avions pas les mêmes goûts, Issan eut le temps de réfléchir un peu plus et intervint.
    
    — T’as validé la commande ?
    
    — Non, mais j’allais le faire.
    
    — Ben attends !
    
    — Pourquoi ? T’as une autre idée ?
    
    — Comme on prend pas les mêmes pizzas, on n’est pas obligé de les prendre au même endroit !
    
    — Ni au même moment, m’empressai-je d’ajouter !
    
    — Héhé... fit Léon.
    
    Quand les garçons furent en état de rebander et la première commande passée, nous mîmes en place ...
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