1. L'étudiante sodomisée. (6)


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... sueur.
    
    Sa capote fut pleine de jus en un instant. Ces livreurs de pizza étaient décidément trop pressés. Il partit en nous faisant promettre de ne rien dire à son chef.
    
    Une fois ma pizza passée au micro-ondes, je vidais les deux présos sur ce plat délicieux et mangeai ma part de bon appétit sous le regard amusé des convives dégustant la leur, beaucoup plus sèche.
    
    Une fois rassasiés, nous reprîmes notre plan à trois en espérant d’autres coups de sonnette.
    
    Mais ils ne vinrent pas, du moins pas tout de suite. Léon et Issan eurent le temps de finir. Ils éjaculèrent presque simultanément dans ma chatte où chacun avait engagé sa bite, bien serrée contre l’autre dans ma boîte à bonheur.
    
    Léon avait du travail. Issan resta avec moi.
    
    — Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Tu attends les autres gars ?
    
    — Problème ! Vont-ils venir ?
    
    — Ouais... incertain... Ecoute, j’ai rien à glander. On se mate un film au cas où.
    
    — Ouais... on se fait un porno ?
    
    — Bien ça... On va rester dans le thème.
    
    — Tu seras d’attaque ?
    
    — Là franchement, tu m’as vidé les couilles. Je pense pas être capable de rebander avant ma gaule du matin...
    
    — Pas grave, tu regarderas.
    
    Nous installâmes l’ordi au pied de mon lit. Je m’ y allongeai sur le ventre pendant qu’Issan s’assit à même le sol, le dos contre le sommier.
    
    Sur l’écran, une brune à gros seins était entrée par mégarde dans des pissotières pleines de blacks. Ils avaient librement interprété sa démarche et elle était en ...
    ... train de se faire défoncer brutalement par tous les trous la veinarde. Elle en était déjà à plusieurs giclées quand l’interphone de notre logis fit entendre son bruit strident.
    
    Issan se leva, y alla, répondit.
    
    — C’est un gars qui livre la sauce pour la pizza, me lança-t-il.
    
    Puis j’attendis le temps nécessaire pour que mon nouveau compagnon de jeu gravisse l’escalier.
    
    — Salut, c’est bien ici...
    
    — Viens, elle est par là ! dit Issan qui coupa notre nouvel invité.
    
    Le mec était replet et boutonneux, ce qui lui donnait un air d’adolescent, surtout qu’il avait une tête juvénile.
    
    — T’as quel âge ?
    
    — 21 et toi ?
    
    — T’as une carte professionnelle ?
    
    — C’est utile ?
    
    — Indispensable. On te connaît pas.
    
    — Ben si je viens, c’est que mon collègue m’a prévenu. J’suis dans la combine dit-il, sûr de lui, en se déshabillant.
    
    — N’empêche, on aurait pu te refiler l’unif et t’as peut-être rien à voir avec la boîte.
    
    — OK, OK, regarde.
    
    Il avait effectivement une carte professionnelle qui attestait son âge.
    
    Ce n’était clairement pas une beauté. Il était grassouillet, avec des chairs molles et des bourrelets, et les genoux cagneux. Il était couvert de boutons et de croûtes... Et il avait une bite courte, mais très épaisse et les prunes remontées presque au point de presque disparaître dans sa touffe d’un brun profond.
    
    Sa petite quéquette était tendue à mort.
    
    Il grimpa sur le lit.
    
    — Putain, t’es canon toi... D’habitude, on me laisse que les vieilles ...