Soirée d'anniversaire
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
fh,
cérébral,
Masturbation
Oral
pénétratio,
lettre,
amourpass,
Auteur: Nicolas-photographe2, Source: Revebebe
... de porcelaine fine et délicate, la blessure de ton sexe rose et humide comme une invite à y replonger mon épée.
— Je pense aussi à nous aimer dans un grand pré, quand les fleurs nous cachent à tous et que le soleil nous chauffe les épaules, le dos et les reins… Je rêve que je suis écartelée dans l’herbe tandis que tu m’explores toute, aussi nu que moi, aussi avide, aussi passionné. J’ai tant aimé nos ébats dans la campagne… Je crois qu’ainsi nous nous appartenions encore plus : nous faisions aussi l’amour avec la terre que nous aimons et qui nous aime. Une sorte de ménage à trois… Une sorte de communion païenne, une fête de la fertilité…
— Je suis revenu il y a peu sur le grand pré. J’ai retrouvé le petit bosquet ; je nous ai contemplés, jeunes et heureux, insouciants et amoureux. Il faisait trop froid pour me remettre nu et répandre sur ton corps la liqueur de mon désir, mais j’aurais bien aimé…
— Oui, je me sens bien en Viviane, je te sens tout à fait Merlin… Nous sommes l’un avec l’autre au-delà de nos conditions humaines. Au-delà de toutes les contingences qui nous retiennent loin l’un de l’autre. Je t’aime et rien d’autre n’existe. J’espère vraiment te retrouver bientôt. Je rêve de ma petite jupe rouge à pois que tu ouvres pour accéder à mon sexe nu, à ta main qui me caresse la motte, le clito et ma petite source… J’imagine que tu fais cela dans un endroit où nous pourrions être surpris… La sauvette, ma jupe retroussée, ton sexe bien tendu que je caresse au travers ...
... de ton pantalon, que je sors de sa cachette pour te sucer… Une cabine d’essayage… peut-être… Nos gémissements, je les entends… Je sens ta fièvre et la mienne… Si je serre encore les cuisses, je sais que je pourrais jouir rien qu’en voyant ton visage, nos corps réunis dans le plaisir…
— Lorsque nous serons à nouveau réunis, nous le ferons ; je te ferai découvrir des endroits que je ne connais pas encore mais que je cherche, où tu pourras te livrer et t’offrir, où seule tu décideras de ce qui se fera ou pas, où la crainte (le désir ?) d’être surprise te rendra encore plus audacieuse, plus folle.
— Aussi je vais vite te rejoindre dans notre chambre virtuelle. J’ai trop envie de toi et je vais donc recourir à mes doigts en imaginant que c’est toi qui es là, que se sont tes doigts et ton sexe qui me font ça. Je te veux si fort… si fort… J’espère que tu ressentiras mon plaisir, mon désir infini de toi… et que cela te donnera autant de bonheur…
— Je suis venu, je t’ai vue, tu m’as vaincu. En toi répandu et repu, je ne suis plus que l’ombre de mon triomphe. Inondé, noyé par tes flots sucrés, je goûte le repos du guerrier.
— Vite Merlin… rejoins-moi ! Je t’aime et te désire tant… Dans notre baldaquin où tu m’attaches, où tu me possèdes, où je t’appartiens pour toujours, je t’attends. Je te respire et je me languis de toi. Je partirai cette nuit et saurai te trouver.
— Je suis là, en toi, triomphant et comblant les moindres recoins de ta grotte ; j’y resterai pour les siècles. Et ...