1. Soirée d'anniversaire


    Datte: 16/04/2019, Catégories: fh, cérébral, Masturbation Oral pénétratio, lettre, amourpass, Auteur: Nicolas-photographe2, Source: Revebebe

    ... avec douceur et force. Je veux tes baisers, je veux sentir l’élan de tes reins lorsque tu me pénètres, je veux tes yeux dans les miens lorsque tu butes au fond de moi, je veux le feu de mes reins, je veux le miel, mon clito gonflé sous tes caresses, mes lèvres rouges de tes baisers et du frottement de ta barbe naissante. Je veux ton odeur, je veux tes mains sur mes hanches, je veux tes caresses, je veux ton désir d’homme, je veux engloutir ton sucre d’orge, le sucer, le déguster jusqu’à ce qu’il explose de bonheur, je veux caresser ta hampe douce, arrondie, salée, goûteuse, chaude, je voudrais m’empaler sur elle, l’emprisonner dans ma grotte humide, ruisselante à la pensée d’être visitée par toi…
    — Sur la table ou ailleurs, tu seras soumise à tes désirs et aux miens. Je serai ton mâle, animal et vainqueur, amant et soumis à ton plaisir, vainqueur de ta retenue et boutefeu de ton plaisir.
    — Viens, mon enchanteur, viens me remplir de toi, de tout ce qui fait cet homme que tu es et que j’aime, tout ce que tu caches et qu’avec moi tu oses, tout ce que nous sommes l’un à l’autre sans fard et sans notion de temps…
    — Attention : ne lâche pas le fauve qui habite en moi, telle la boîte de Pandore ; cette porte, une fois ouverte, ne se referme plus !
    — Je voudrais ton plaisir, ta semence en moi… combien de fois j’y pense dans une journée ! Parfois c’en est presque douloureux. J’y pense au réveil, en tendant le bras sur le côté gauche hélas froid du lit, j’y pense sous la douche, ...
    ... me remémorant ce que nous avons vécu l’été dernier, j’y pense dans le bus, dans le ronron voluptueux des moteurs et le balancement régulier de la machine. J’y pense lorsque seule après un cours, je m’imagine coincée dans les toilettes avec toi me caressant tandis que j’étouffe mes cris pour ne pas éveiller l’attention. J’y pense en rentrant quand je pense à tous les cinq-à-sept que nous ratons sur le lit, le canapé en levrette, sur la machine à laver, la table à roulettes de la cuisine, dans l’escalier ou l’ascenseur… J’y pense le soir quand je t’écris, quand je mange, quand je vais au lit et que j’essaie de t’imaginer près de moi…
    — Combien de fois n’ai-je pas pensé à toi dans les endroits les plus fous, dans les moments les moins raisonnables ? Ne t’ai-je pas vue nue dans mes bras face à tous ces hommes qui saluaient, vits tendus et frénétiquement agités, récompensant de litres de foutre répandus ta prestation et ton plaisir ? Salles de cours, amphis, labos, magasins, cabines d’essayage, tous les endroits nous sont bons pour montrer combien je suis à toi, comment tu t’offres à moi.
    — Je pense aussi que tu me prends dans ta voiture, parce que nous ne pouvons pas attendre. Je pense que tu me prends sur le capot, au retour d’une promenade où tes mains se sont égarées sous ma jupe.
    — Sais-tu qu’il m’arrive de le faire, lorsqu’au retour d’Yss… je range la voiture au garage et que je te vois offerte sur le capot ? Je ferme les yeux et tu es là, somptueuse dans ta nudité, corps ...
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