1. Les aventures d'un libertin: une nympho hors normes.


    Datte: 16/04/2019, Catégories: fhh, fhhh, extracon, cocus, nympho, fépilée, BDSM / Fétichisme facial, Oral 69, fgode, fist, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, totalsexe, Auteur: Jeuxentreadultes, Source: Revebebe

    ... trempées que les siennes. Je l’agrippai par ses fines hanches (elle était tellement fine que je m’imaginais presque pouvoir joindre mes deux mains en enserrant sa taille) pour accentuer encore la force des coups de boutoir.
    
    Je me rappelai ce qu’elle avait écrit sur le groupe, à propos de ses cheveux courts. Ils étaient effectivement assez longs pour qu’on puisse les attraper, et je tirai donc sur ses cheveux. Son « oh oui ! » m’encouragea, et je tirai encore plus fort. Sa tête se retrouvait tirée tellement vers l’arrière que j’eus peur de lui rompre le cou ; mais dans cette position, son corps se cambrait tellement que je parvins à m’enfoncer encore un tout petit peu plus loin dans son fondement.
    
    Elle devenait incontrôlable, elle forçait sa tête en avant pour que la traction sur ses cheveux se fasse encore plus sentir, et moi je tirais plus fort pour la ramener en arrière. Puis sa tête commença à basculer dans tous les sens ; elle criait de plus en plus fort, parfois de simples cris de plaisir, parfois des paroles comme « Encule-moi encore plus fort », « Défonce-moi », « Plus fort, plus vite, bordel ! », « Éclate-moi le cul, j’adore ! ».
    
    J’étais déchaîné ! Sincèrement, je n’ai jamais baisé quelqu’un aussi fort, même vaginalement. J’étais devenu une bête qui défonçait sans merci sa femelle qui ne demandait pas mieux ; je grognais, je soufflais sous l’effort, et comme je venais de jouir (elle l’avait fait exprès, la garce expérimentée !) j’avais une endurance qui ...
    ... m’étonna moi-même. Jamais je n’aurais cru pouvoir baiser aussi longtemps et aussi fort, qui plus est dans un cul !
    
    Les gouttes de sueur tombaient de mon front sur son dos, nous étions trempés de sueur et de sa cyprine, rien autour de nous ne comptait plus, nous étions totalement perdus dans le déchaînement de nos corps dans une course vers la jouissance.
    
    C’est d’ailleurs elle qui lâcha prise en premier. Dans un grand cri, elle cessa tout mouvement, se crispa tellement fort que je sentis ma queue se faire écraser par ses sphincters.
    
    D’un coup, elle s’arracha à mon étreinte, se retourna de façon à être couchée le visage à quelques centimètres de ma bite, arracha la capote, et elle me dit :
    
    — Maintenant, je veux ton jus sur ma gueule de pute ! Arrose-moi.
    
    C’étaient ses propres termes !
    
    D’une main, elle tiraillait un peu la peau de mes bourses ; de l’autre, elle allait chercher sa mouille puis suçait avec application ses doigts pour goûter sa propre intimité. Je ne fus pas long : je crachai de longs fils blanchâtres sur son visage, du front au menton, un peu dans sa bouche. Quelques gouttes entrèrent dans ses yeux qu’elle garda bien ouverts ; d’autres gouttes vinrent maculer sa courte chevelure noire.
    
    Je sais bien que certaines femmes doivent sentir leurs poils se hérisser à ces mots, et pourtant je ne pouvais faire autrement que d’admirer son joli visage d’ange éclaboussé de traînées blanches et gluantes. Oui, elle était belle, le visage souillé de ma semence. ...
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