Les aventures d'un libertin: une nympho hors normes.
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
fhh,
fhhh,
extracon,
cocus,
nympho,
fépilée,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
69,
fgode,
fist,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
totalsexe,
Auteur: Jeuxentreadultes, Source: Revebebe
... de toute façon, elle, elle n’en n’avait jamais assez. Elle reprit mon sexe en bouche, et alors qu’il n’avait pas encore ramolli complètement, s’appliqua à me faire reprendre vigueur, ce qu’elle arriva à faire très rapidement. Elle savait vraiment comment jouer avec le corps des hommes ; elle connaissait très précisément les gestes efficaces.
Elle me revêtit d’une capote et se mit en position de levrette, disant :
— Viens tremper ta queue dans ma chatte avant de m’enculer.
Pour la forme, donc, j’investis son con. Malgré le préservatif, la chaleur de ses entrailles m’était facilement perceptible et je lui donnai des coups de queue dans un clapotis révélateur de son état.
Quand elle avait dit adorer la sodomie par-dessus tout, elle ne mentait pas. Après même pas deux minutes, elle fit sortir mon sexe de son vagin, le remplaça par deux doigts pour qu’ils se gorgent de cyprine, fit passer sa main par-dessus ses fesses et se planta sans autre forme de procès les deux doigts d’une traite dans le fondement, qui fut ainsi lubrifié et un minimum dilaté. Elle reprit ma queue, la plaça à l’entrée de son entrée des artistes, et me dit :
— Vas-y, encule-moi maintenant.
Je voulus commencer en douceur, m’enfoncer centimètre par centimètre, comme il se doit lorsque l’on visite un petit trou fragile. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille ! Elle voulait de l’enculade ; elle allait se servir. Elle poussa ses fesses contre moi, engloutissant toute la longueur de mon ...
... chibre en une fraction de seconde dans ses entrailles brûlantes. Le tout accompagné d’un « Han » de satisfaction de sentir son conduit anal bien rempli.
Si je ne me considère pas comme étant particulièrement bien monté, je sais que mon sexe est de taille respectable, certainement en ce qui concerne l’entrée dans l’orifice le plus étroit de la femme. Au début d’une sodomie, j’y vais donc toujours doucement : le but n’est pas de faire mal, bien au contraire. Mais avec Sylvie, c’était différent. Elle n’aimait pas seulement la sodomie ; elle adorait se faire défoncer le cul le plus fort possible. Sans doute un psychiatre y trouverait-il un symbole, je ne sais pas, du genre« elle se punit de son passé, d’une relation paternelle défaillante ». Je ne suis pas réducteur de tête ; alors, bien que je me demande parfois pourquoi telle personne agit de telle façon, sur le moment-même je ne voyais qu’une chose : voilà une femme qui balaye toutes les limites, qui prend son pied là où la plupart des femmes refusent même qu’on les touche. Là où certaines femmes acceptaient tout juste une visite de temps en temps, et encore, avec moult précautions, des tonnes de lubrifiant et de douceur, réclamant des précautions et de la patience ; et voilà que je défonçais un cul comme je ne défonçais que rarement une chatte.
À chaque mouvement que je faisais en poussée, Sylvie jetait ses fesses à ma rencontre. Mes couilles venaient battre contre sa chatte dégoulinante, et bientôt mes cuisses furent aussi ...