Les aventures d'un libertin: une nympho hors normes.
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
fhh,
fhhh,
extracon,
cocus,
nympho,
fépilée,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
69,
fgode,
fist,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
totalsexe,
Auteur: Jeuxentreadultes, Source: Revebebe
... Semence qui, à la vue de ce spectacle, arrivait encore. Je ne pense pas avoir déjà émis une telle quantité de foutre…
Le temps de reprendre notre souffle, la musique au rez-de-chaussée changea, Sylvie me dit :
— Viens, le show commence ; allons voir ça.
En hâte, nous quittâmes notre abri, en ramassant vaille que vaille nos vêtements épars, et nous sommes descendus. Le spectacle consistait en une démonstration de pole-dancing très impressionnante. La danseuse était une magnifique blonde à la longue chevelure ; son corps musclé et gracile s’enroulait avec grâce sur le piquet, à croire que sa discipline était facile. Une seconde danseuse sauta sur la petite estrade sur laquelle était monté le piquet. Elle fit elle aussi quelques mouvements impressionnants, mais lorsqu’elle se retrouva la tête en bas, les mains et le haut du corps enserrant la barre, elle commença un grand écart. Sa mini-jupe à l’écossaise s’était retournée sur son nombril, dégageant son bassin et son pubis en une pose indécente mais excitante. D’ailleurs, sa collègue en profita pour lui manger la chatte. Elle l’accompagna lorsque la belle descendit le long de la barre pour le dos au sol, les fesses contre la barre, les jambes quasiment en équerre. La seconde danseuse vint se placer sur son visage et elles entamèrent un 69 d’enfer. Ensuite elles se roulèrent sur la petite estrade se léchant, se doigtant, en un show lesbien de la plus belle facture.
J’étais assis sur un tabouret de bar, ma complice ...
... ayant préféré rester debout entre mes cuisses ; elle frottait ses fesses et son dos contre mon sexe qui ne resta pas longtemps au repos, grâce à ses caresses et au spectacle appétissant. Elle-même, m’avoua-t-elle, n’avait rien contre une partie de jambes en l’air avec une autre femme ; mais quand il y avait des hommes dans les environs (en fait, elle parlait de « bites » en parlant des hommes), elle refusait de partager, et tout devait être pour elle.
Le spectacle fini, elle se retourna vers moi, passa la langue sur ses lèvres en me regardant droit dans les yeux, les baissa vers mon chibre redevenu bien dur, et se baissa pour m’emboucher à nouveau. Elle se laissa aller à quelques mouvements de gorge profonde, noyant ma queue dans la salive, et lorsqu’elle releva la tête pour me parler, des fils de salive pendaient de son menton, de ses lèvres. Elle s’approcha de mon oreille et y glissa un bref :
— Viens, j’ai encore envie que tu m’encules.
Je ne sais pas pour vous, chers lecteurs, mais c’est le genre de phrases dont je raffole. Entendre une femme me demander de l’enculer, de lui prendre le cul, ce genre de phrases, ça a le don de me rendre fou d’excitation.
Nous nous retrouvâmes vite dans les escaliers, mais cette fois je ne me contentai pas de mater son beau fessier : je dardai ma langue dans son croupion, je plantai un doigt dans sa chatte et un second dans son cul. Nous n’eûmes pas le temps d’atteindre la pièce de tout à l’heure ; elle se planta dans le canapé ...