1. Les dessous du porno


    Datte: 15/04/2019, Catégories: fhh, hplusag, grossexe, campagne, voiture, vidéox, facial, Oral fgode, fsodo, coprolalie, Humour Auteur: Edouard et Julie, Source: Revebebe

    ... après l’histoire j’ai fait un test).
    
    Bref, vu le pognon qu’on me proposait et en me disant qu’il y avait suffisamment de nanas qui le font pour que j’y arrive aussi, j’ai signé le contrat après avoir vérifié qu’il ne contenait pas de trucs trop coups fourrés et que le type m’ait précisé que je serais déclarée (fiche de paie reçue avec beaucoup de retard mais effectivement) et payée immédiatement (en espèces, le pied quand on a un découvert). J’ai juste fait preuve de professionnalisme en posant des questions non évoquées, genre fringues :
    
    — T’occupe, on te filera ce qu’il faut, donne ta taille.
    
    Je donne ma taille mais j’émets un doute :
    
    — Pour le soutif, la taille c’est rien, ça risque de pas m’aller.
    — T’inquiète, tu le garderas pas longtemps et pis si ça déborde tant mieux, c’est sexy.
    
    Ensuite, j’ai suivi ses conseils : test du sida, et j’ai commencé à me doigter le trou du cul. Au début, il y a comme une odeur, malgré une toilette soignée. Après, j’ai essayé les lavements : pas agréable du tout mais ça marche, c’est nickel. J’ai d’abord été dans un sex-shop acheter le nécessaire. Tu me connais, je n’ai pas froid aux yeux(NDLA : la connaissant, effectivement, je l’imagine très bien entrer sans hésitation dans un sex-shop, chose que je serais incapable de faire), j’y suis allée franco et j’ai demandé au type, un vicieux, des godes. Ce con m’a répondu :
    
    — Je peux vous offrir mes services à la place, ça ne vous coûtera rien et vous ne perdrez pas au ...
    ... change.
    — Mais Monsieur, vous n’y êtes pas du tout, je n’ai pas besoin de gode par frustration, mais parce que je me lance dans le porno et on m’a conseillé de m’élargir l’anus de la sorte(NDLA : là, je retranscris sa phrase mot à mot, et je serais prêt à parier qu’elle a dit ça comme ça et sur le ton qu’elle aurait pris pour parler devant un tribunal).
    
    Eh bien tu me croiras si tu veux, mais tout patron de sex-shop qu’il était, le type ne savait plus où se foutre. Il a quand même su me conseiller deux modèles de tailles progressives :
    
    — C’est ce que je vends aux couples qui veulent s’initier à la sodomie. J’ai aussi de très bons lubrifiants…
    — C’est cher ! Puisque vous vouliez de moi, je vous propose un marché : vous me donnez tout ce dont j’ai besoin et pour vous payer, je vous taille une pipe. Je vous demande juste de me donner après vos appréciations sur mon savoir-faire, en toute objectivité.
    
    C’est comme cela que j’ai eu tout un attirail pour rien(NDLA : là, la connaissant, je suis sûre qu’elle a menti, je doute qu’elle se soit vendue de la sorte pour aussi peu, enfin j’ignore le prix d’un gode mais ça me semble très inférieur à l’estime que Mademoiselle Julie se porte).
    
    Bref, rendez-vous un samedi matin à huit heures. On monte dans un monospace à quatre. Je suis la seule fille. Trois types avec nous, le metteur en scène, un cameraman, et un acteur. Le second est déjà sur place. Je prends le médicament conseillé. On roule un peu plus d’une heure et on arrive en ...
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