Les dessous du porno
Datte: 15/04/2019,
Catégories:
fhh,
hplusag,
grossexe,
campagne,
voiture,
vidéox,
facial,
Oral
fgode,
fsodo,
coprolalie,
Humour
Auteur: Edouard et Julie, Source: Revebebe
... avait une bite de taille normale, mais c’était un type avec un corps d’athlète. Il aurait pu être mignon mais un il était trop musclé, je n’aime pas, et deux il avait une espèce de barbiche à la mode, ce que je n’aimais pas du tout. En plus, il n’avait pas l’air de sortir de l’école où j’avais posé nue. Il s’appelait Aurélien et était aussi jeune que moi. Comme Aurélien était trop long à dire, le metteur en scène l’appelait Hardy, parce que Aurélien – Laurel et Laurel – Hardy. Vise l’humour !
Bon, bref, on a laissé la tarée piquer sa colère et on est remonté dans le monospace, direction l’endroit repéré pour le crime. Je suis descendue sur le bord de la route, j’ai avancé un peu et le cameraman a commencé à me filmer toute souriante. Ensuite la bagnole est repartie, a fait demi-tour, s’est éloignée de cinq cents mètres, a refait demi-tour pour revenir sur moi. Le cameraman a filmé dans la voiture avec dialogue :
— Vise la meuf sur le bord de la route !
— Ouais, si on se la fait pas, cette salope, on est des gros nases.
Le cameraman est ensuite descendu pour venir prendre un plan de la voiture qui arrivait, puis un autre de son arrêt près de moi. Je suis montée à l’avant et le cameraman à l’arrière, derrière le chauffeur. Le metteur en scène était derrière, dans la partie coffre, et donnait ses instructions. La partie « drague » du film n’a pas duré longtemps : une fois monté, cela aurait fait moins d’une minute ! Tu vois, mon amour, toi, tu as commencé par me faire ...
... la conversation, assez pour placer ton invitation au restaurant. Le lendemain, nous sommes allés ensemble au Jules Verne, tu m’en as foutu plein la vue et nous avons fini la nuit dans ton lit. Bref, tu as mis trente-six heures à me séduire, soit deux mille fois plus longtemps que dans le porno. Imagine si dans la vraie vie on draguait deux mille fois plus vite ! Bon, c’est vrai que ça t’a coûté moins cher que mon salaire du porno.
(NDLA : là, je crois utile d’ajouter un petit échange verbal entre elle et moi :
— Comment tu peux savoir que ça m’a coûté moins cher ? Les prix ne figurent pas sur les menus des dames là-bas !
— Je me suis renseignée, qu’est-ce que tu crois, il fallait bien que je me fasse une idée de ton calibre !
— Mon calibre, tu l’as testé dès la première nuit !
— Je parle du calibre de ton portefeuille !
Et là, nous avons à nouveau ri comme des gosses avant de nous embrasser goulûment).
Après la drague, le conducteur, Fred, a commencé à me peloter les cuisses. Je lui ai rendu la pareille et là j’ai été un peu surprise de sentir sous mes doigts qu’il ne bandait pas. En fait, les acteurs pornos s’économisent, paraît-il ! Là-dessus, le second acteur s’est levé derrière moi, et ses mains sont venues me peloter les seins. À part la non-érection de Fred, j’étais super excitée, et on a finalement trouvé un coin tranquille pour s’arrêter.
C’était au fond d’un chemin, à l’entrée d’un pré qui était entouré de haies vives, ce qui en faisait vraiment un ...