1. Alerte à la pollution dans la rue du Grand Chêne bleu


    Datte: 14/04/2019, Catégories: fh, grp, hagé, fagée, frousses, extracon, voisins, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, échange, Partouze / Groupe uro, portrait, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... d’un nombre impressionnant de cadavres de bouteilles vides, sa robe gisant sur le carrelage accompagnée d’une petite culotte en coton fleuri et d’un soutien-gorge blanc, aux bonnets renforcés gigantesques. Jean-Claude, courageux mais pas téméraire, se proposa de suite pour aider à démonter les tréteaux et les planches de la table improvisée et aider ainsi Madame Delacroix.
    
    La veuve Trop-cuit m’écoutait en silence alors que je lui racontais l’origine de la pollution due à la maladresse de l’ouvrier communal. Elle rangeait les verres du festin posés sur la table de la cuisine dans le lave-vaisselle. Ce simple mouvement de torsion du buste provoquait le balancement de ses seins lourds, entièrement libres sous le tablier fleuri. Finalement, le soi-disant dragon, se montra conciliant, puisqu’elle n’exigea, comme réparation, que l’élagage de ses arbres par Jean-Claude.
    
    Le tiroir inférieur du lave-vaisselle se montrant récalcitrant, je m’accroupis pour trouver le remède en déchargeant des assiettes et quelques spatules. La maîtresse de maison vint à mon aide en s’accroupissant aussi. Le bas du tablier s’ouvrit et remonta au-dessus des genoux, découvrant ainsi son extraordinaire et luxuriante toison rousse. Le poil long et frisé envahissait totalement l’entrejambe béant de la rousse authentique, débordant sur le haut des cuisses en frisettes innombrables. La toison rousse était si dense qu’elle dissimulait totalement son minou. Elle ne se rendit compte de l’indécence de sa ...
    ... position que trop tard, refermant les genoux, aussi gênée que moi probablement.
    
    La veuve Trop-cuit décida d’annoncer elle-même à Jean-Claude le résultat du compromis mais elle fut incapable d’émettre le moindre son. Sur la terrasse la table était toujours en place. Thérèse Delacroix était même assise dessus, sur le bord ; la jupe jaune-abricot troussée jusqu’au nombril, sa petite culotte rose bonbon à la main et la tête de Jean-Claude plongée entre ses jambes frêles.
    
    — Tu ne crois pas que tu exagères Thérèse ? à ton âge ! Passe encore que tu trompes ton mari avec un plagiste grec une année, un barman turc une autre fois ou un cuisinier martiniquais mais, faire ça chez moi…
    — Je ne peux quand même pas demander à Fernand de tenir la chandelle, non ? et puis, je te rappelle qu’on n’est plus des perdreaux de l’année toutes les deux. Au lieu de jouer la moralisatrice, tu ferais mieux de profiter de la vie qui nous reste. Il y a justement un charmant gaillard à tes côtés qui n’est pas assez goujat pour t’abandonner le jour de ton anniversaire. Je suis certaine, ma pauvre, que tu n’as pas été honorée par un homme depuis le jour où ton mari est décédé, le temps passe vite, tu sais !
    
    Ce dialogue burlesque ayant interrompu les activités de Jean-Claude, la petite dame sauta de son perchoir. Elle descendit la longue fermeture éclair de la combinaison de travail de l’ouvrier communal, elle inclina le buste et lui offrit une petite gâterie buccale, en lui sortant le membre du ...
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