Alerte à la pollution dans la rue du Grand Chêne bleu
Datte: 14/04/2019,
Catégories:
fh,
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campagne,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
échange,
Partouze / Groupe
uro,
portrait,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... les tasses, Annie m’invita à m’installer au salon de jardin, près des bains de soleil que son mari avait installés, le matin même, sur la pelouse. Caché par un prolongement du garage, un étendoir à linge en parapluie, rempli à ras bord, inclinait dangereusement son pied central. Un quartier complet de l’étendoir arborait une dizaine de petites culottes féminines multicolores, avec des transparences assez coquines. Certes, ces petites culottes étaient de grande taille mais la diversité de la lingerie était intéressante : j’aimais bien la vert amande tout en mailles transparentes ; également un shorty en satin rouge ; il y en avait aussi une, jaune canari, très échancrée, aux contours flottants bordés d’un étroit ruban de dentelles.
— Mes petites culottes semblent vous passionner, mon cher Pierre !
Pris par la patrouille, je n’avais pas entendu mon hôtesse revenir avec son plateau. Je ne trouvai qu’une réplique minable pour avoir l’air moins ridicule :
— Votre mari a bien de la chance, Annie…
Elle ne répondit rien sur le coup. Elle servit le café, savoura sa première tasse religieusement et s’en resservit une autre dans la foulée avant de répliquer, assez désabusée :
— Il y a bien longtemps que mon mari ne s’intéresse plus à mes petites culottes, trente ans de mariage vous pensez ! Monsieur ne s’intéresse qu’à sa collection de timbres. En plus, après son petit accident cardiaque, le médecin lui ayant conseillé de réduire ses activités physiques, Bernard ne ...
... fait plus rien. J’ai dû le menacer pour qu’il nettoie le salon de jardin. Ma lingerie est la dernière de ses préoccupations, comme le devoir conjugal d’ailleurs !
Je crus opportun de lui apporter un peu de réconfort et, sans vraiment aucune arrière pensée déplacée, je pensais me montrer galant homme en lui disant :
— Il y bien des hommes, Annie, qui se porteraient volontaires pour assurer l’intérim de votre égoïste de mari.
— Figurez-vous Pierre, que cela me travaille depuis un certain temps. Après tout, on n’a qu’une seule vie et je ne suis pas responsable de la soi-disant santé fragile de mon mari. Puisqu’on évoque le sujet, je viens de penser que je pourrais vous proposez un petit arrangement. Pour, disons… combler nos deux solitudes puisque, vous aussi, vous devez vous sentir bien seul depuis la séparation d’avec votre femme… Je me trompe ? On aurait un petit secret en commun, rien qu’à nous deux ; est-ce que ma proposition vous intéresse ? Si vous ne me trouvez pas à votre goût, ce n’est pas un drame vous savez, je ne vous force pas.
Elle n’attendit même pas ma réponse. La coquine fit quelques pas sur le gazon et fit passer sa liquette par dessus la tête. Elle s’assit sur le repose-pied du bain de soleil et réussit difficilement à se débarrasser, en même temps, de son pantalon caleçon et de sa culotte. Pas du tout gênée d’être complètement nue, elle se releva et, de l’index, elle m’invita.
Mon visage était parfaitement protégé des ardeurs du soleil car, ma ...