Amant d'un soir (1)
Datte: 13/04/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... chatte ! Vas-y gicle ta semence ! Oh ! Oh ! Oui… trop bon !
Essoufflés, nous nous tenons un long moment tranquille sous la douche. Mes jambes sont en coton et alors que tu finis de te sécher, je file à la cuisine, à poil, pour mettre en route le four où mes croque-monsieur attendent sagement. Le dîner se déroule dans le calme, nous nous narrons les potins d’une journée de travail ordinaire. Je passe sous silence l’épisode « Tony », comme si mon comportement n’était pas correct. Une soirée où la tendresse s’allie à des moments plus chauds, plus coquins, nous rapproche de la nuit.
Six heures du matin ce samedi, c’est l’heure à laquelle, je me lève. Un café alors que tu es encore endormi et je file vers notre atelier, pour y récupérer les affaires dont je vais avoir besoin pour mon chantier. La camionnette des trois employés est là, bien rangée, mais encore remplie des outils et pourtant ils savent que nous n’aimons pas que ceux-ci ne soient pas remis en place. Je dois donc fouiller pour retrouver certains d’entre eux, dont j’ai expressément besoin. Direction la maison d’Arlette, chez qui j’arrive sur le coup de neuf heures du matin.
J’ai bossé toute la journée, je n’ai pas même pensé au déjeuner, mais ce que je regarde à de la gueule ! Bon allez ! Je finirai lundi et ensuite notre équipe viendra à nouveau pour remettre en place lustre, interrupteurs et prises de courant. Enfin tous les petits trucs auxquels, je ne connais pas grand-chose. La propriétaire des lieux ...
... est passée plusieurs fois, m’a versé de l’eau et elle aussi a un large sourire devant le travail qui s’annonce plus que bien.
— oooOOooo —
Le retour se fait par l’atelier où je vais remettre en place l’outillage. Je suis garée près d’une voiture que je reconnais ! Tiens ! C’est, Medhi qui se trouve là ? Il est sans doute venu récupérer quelque chose qu’il a oublié. Alors que j’entre sans bruit dans l’atelier, j’entends des rires et des voix ! Ils sont au moins deux. Tony est là lui aussi ! Il fait de grands gestes et l’autre rit de plus belle. Je m’approche sans me faire remarquer et d’où ils sont, ils ne peuvent me voir.
— Raconte-moi encore une fois ! Vas-y Tony, j’ai du mal de te croire.
— Mehdi ! Parole d’homme ! Elle est montée sur l’échelle et je regardais ses jambes, puis j’ai vu ses cuisses ! Tu parles avec la jupe « ras du cul » qu’elle portait hier ! Tu l’as bien vue non ?
— Ben ! Oui ! J’ai bien vu qu’elle avait une jupe, mais je ne savais pas qu’elle était montée sur l’échelle pour voir !
— Je te le jure ! Plus elle montait, plus je voyais ses cuisses ! Elle est encore bien foutue ! Puis j’ai aperçu sa culotte ! Mauve, elle était mauve avec des dentelles sur le devant ! Je crois que j’ai vu des poils même !
— Pas de danger que ce soit à moi que ça arrive ce genre de truc ! Merde ! Pourquoi je n’ai pas posé ces foutues lattes moi-même ?
— Mais Medhi, tu as une femme toi ! Tu ne vas pas fantasmer sur la patronne ? Et puis dans la bagnole quand ...