Odile se raconte
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
extracon,
boitenuit,
danser,
contrainte,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
historique,
bourge,
hff,
Partouze / Groupe
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... mousseline, ne cachant rien.
— Quand sera-t-il là ?
— Il ne va pas tarder. Il est parti vers dix-sept heures et généralement, il met deux heures à deux heures trente pour venir. Tout va dépendre de la circulation qu’il aura rencontrée.
— Alors, comment s’appelle-t-il ?
— Idriis.
— Ce prénom un bon présage, et comment est-il physiquement ?
— Tu verras, c’est la surprise, mais tu ne seras pas déçue, fais-moi confiance
Un coup de sonnette. Sandra se dirige vers l’interphone. Je sens mes mains devenir moites, je prends dans mon sac un kleenex pour les essuyer. Sandra, qui m’a vue, me sourit, puis elle ouvre la porte et attend. Une voix rompt le silence qui s’est installé. Arrivé devant Sandra il la soulève et la fait tourner tout en l’embrassant sur la bouche, mais… avec retenue.« C’est pas normal » me dis-je, et je me tiens en retrait. Il ne m’aperçoit qu’en reposant Sandra. Se dirigeant vers moi avec un immense sourire, il s’adresse à Sandra.
— Tu ne m’as pas menti, Odile est encore plus belle que dans ta description au téléphone. Je vais vous faire passer un week-end inoubliable. Je suis avec les deux plus jolies femmes qu’il m’ait été permis de voir et surtout de toucher depuis un bon moment.
Je me sens rougir, mais quand Idriis m’embrasse, le malaise qui s’était emparé de moi se dissipe comme par enchantement. Sandra referme et l’invite à se débarrasser de sa veste de cuir. Il la dépose dans un coin du salon avec son sac de voyage. Il nous demande ...
... l’autorisation de faire une petite toilette, car il a eu chaud dans sa voiture et, n’ayant pas la climatisation, une petite douche lui fera le plus grand bien. Sandra l’accompagne dans la salle de bain et lui demande :
— Qu’est-ce qui ne va pas ?
— Oh, rien ! J’ai un problème, mais je ne peux rien dire.
— Mais si, dis-moi.
— Je dois une assez grosse somme à une personne, et je dois lui rendre avant lundi matin.
— J’ai des économies. Si je peux t’aider, n’hésite pas, je le ferai volontiers pour toi.
— Je crains que ce ne soit suffisant. Mais pour pouvoir, tu peux. Mais je ne suis pas certain que tu apprécies la solution qu’il entrevoit.
Ne saisissant pas le sens exact de sa phrase, elle ajoute :
— Ne t’inquiète pas, j’ai promis de t’aider, alors tu peux compter sur moi. Demande-moi ce que tu veux, ce sera toujours OUI. Allez, maintenant dépêche-toi, ne nous fais pas languir.
— Même si c’est très spécial ?
— Allez, dépêche-toi !
Revenant dans la pièce, elle profite de l’absence d’Idriis pour m’interroger.
— Alors, quelle impression ?
— Il est comme je me le suis imaginé, et pour le reste attendons pour savoir si je pars en courant ou si je deviens accro.
— Je t’ai prévenue, attention, l’essayer, c’est l’adopter.
La porte de salle de bain s’ouvre enfin. Idriis apparaît, une serviette seulement nouée autour de la taille. Sandra lui fait remarquer qu’il ne perd pas de temps. Un sourire dégage ses dents blanches.
— Après ce que tu viens de me dire, et d’être ...