Odile se raconte
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
extracon,
boitenuit,
danser,
contrainte,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
historique,
bourge,
hff,
Partouze / Groupe
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... que je te demanderai de faire. Mais j’attends toujours ta réponse.
— Bon, comme je n’ai pas le choix, je reste. Je suis curieuse de voir comment tu vas faire avec deux femmes. Monsieur se vante une fois de plus.
— Rappelle-toi, le week-end à Cabourg. À ce petit jeu-là, tu as cédé la première.
— Oui, mais ce jour-là j’étais seule. Aujourd’hui nous serons deux, si toutefois cela ne gêne pas Sandra.
— Non, moi je ne vois rien qui me dérange. Plus on est de fous, mieux on baise.
— Alors, qu’attends-tu pour te déshabiller, une invitation ?
Je me lève, retire ma veste, la pose sur une chaise, fais tourner ma jupe, la déboutonne, elle tombe à mes pieds. Me sachant épiée, je prends tout mon temps pour la ramasser et la plier tout en gardant les jambes bien droites, leur montrant mes fesses gainées dans un adorable boxer en dentelle, qui me tient bien la taille tout en dégageant le bas de mes fesses. Mon soutien-gorge assorti s’arrête juste au-dessus des aréoles de mes seins. Je me relève et demande :
— Qui de vous deux me retire le reste ?
Surprise, je vois Sandra s’avancer vers moi. Maintenant, nous sommes l’une devant l’autre. Sandra passe ses mains dans mon dos et prestement me dégrafe mon soutien-gorge et le fait descendre le long de mes bras. Je me laisse faire, me sentant plus femme et plus désirable que jamais, je me laisse guider, sachant inconsciemment être comprise et que je peux aller au-delà de mes propres limites.
Sandra se saisit d’un de mes seins, le ...
... suce, le lèche, d’une main elle me saisit l’autre et le palpe. Vierge de toute relation féminine, je me crispe, elle le ressent et relâche la pression. Il me faut un peu de temps avant de m’offrir à une autre mais là je n’en ai pas et je ne peux reculer. Elle lève les yeux vers moi ; nos regards se rencontrent, elle lit dans mes yeux mes interrogations, mes craintes. Dans les siens, en réponse je ne lis que du désir. Elle relève sa tête, nos bouches se joignent avant que nos corps se collent l’un à l’autre. La fougue de ce baiser fait tomber mes dernières réticentes. Je me détends ; maintenant, tout me semble plus accessible.
Ses mains parcourent mon corps, l’explorent. Sa poitrine s’écrase sur la mienne, son ventre s’appuie contre le mien et ondule doucement, je ne sais où poser mes mains. Ce baiser qui n’en finit pas me fait frissonner, mes seins durcissent, les pointes se tendent, chaque passage de ses doigts dessus me fait tressaillir. Jamais je n’ai été aussi réceptive. Prenant mes tétons, elle les suce, les tète, les lèche. Elle se rapproche de nouveau, met nos pointes durcies les unes contre les autres. Elle ne bouge que très peu, mais ce simple contact me fait plus d’effet que tout ce que j’ai ressenti jusqu’à ce jour. Je me cramponne à elle pour ne pas sombrer.
Je l’encourage alors à aller plus loin en lui appuyant sur les épaules. Ses mains quittent mes hanches et se posent sur l’élastique de mon boxer, ses pouces passent entre le tissu et ma peau, et lentement ...