Odile se raconte
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
extracon,
boitenuit,
danser,
contrainte,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
historique,
bourge,
hff,
Partouze / Groupe
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... fois que tu viens, j’ai droit à « ta sœur elle ceci… elle cela… » J’en serai presque jalouse.
— Alors là, pour un scoop, c’est un scoop ! Il ne faut jamais dire non à ce genre de proposition.
— Bon, alors je t’explique. Patrice l’invitera à une visite de chantier naval dans le golfe du Morbihan. Ils partiront le vendredi après-midi et retour le dimanche en fin de journée. Tu me dis pourquoi ?
— J’ai rencontré Odile chez Alexandre et je lui ai proposé de passer tout un week-end avec moi et un ami que tu connais. Rappelle-toi, en sortant tu avais mal partout.
— Laisse-moi venir aussi, à trois nous ne serons pas de trop !
— Non, mais laisse nous passer le samedi. Et si tout se passe bien, je t’appellerai pour le dimanche, d’accord ?
— D’accord. Allez, je t’embrasse, il y en un qui demande une avance sur le câlin. Et pour qu’il reste sur de bonnes dispositions, je ne vais pas le faire attendre… Et en plus, je n’ai pas à me forcer car après ce que tu viens de me dire, je suis un peu en manque.
Sandra est ravie, tout se passe bien pour le moment. Le lendemain, elle me communique la bonne nouvelle. Je n’en reviens pas qu’elle ait décidé son beauf pour éloigner Louis. Oui, mais est-ce qu’il allait lui se laisser convaincre ? Le soir en rentrant, il me parle de sa journée mais à aucun moment d’une conversation avec Patrice. Ce n’est que le samedi suivant, soit dix jours après, qu’en fin de journée, et timidement…
— Dis-moi, que dirais-tu si je partais avec Patrice un ...
... week-end pour aller visiter un chantier naval et essayer un bateau ?
— Tu partirais le samedi ?
— Non, nous partirons le vendredi en fin d’après-midi, nous rentrerions le dimanche après-midi.
— Ha quand même !
— Oui je sais, mais ça lui fait plaisir d’aller là-bas, et comme Laure n’est pas intéressée, il me le propose. Mais si tu ne veux pas, ce n’est pas grave, je dis non.
— Mais toi, tu as envie d’aller avec lui ?
— Oui, c’est agréable de voir d’autres choses. Alors, tu décides quoi ?
— Vas-y, de toute façon j’ai de quoi m’occuper à la maison. Il ne faut pas de faire de souci pour moi. Et puis je passerai chez Sandra, nous sommes copines maintenant.
Louis est tout content, mais pas autant que moi. En guise de repassage, je me dis que je risque d’être servie. La semaine qui suit, je rentre plus tôt pour faire repassage et ménage. Louis ne s’aperçoit à aucun moment de mes changements d’horaires. Le vendredi arrive, nous sommes tous les deux fébriles mais pas pour les mêmes raisons. Quand Louis part après m’avoir longuement embrassée, je pousse un ouf de soulagement, et à mon tour je me prépare. En sortant de la salle de bain, me regardant dans la glace de notre chambre je me trouve belle, ce qui est rare. J’enfile un string et soutien-gorge assorti, achetés le jour même, par-dessus je mets ma robe rouge, celle qui me va si bien. Vêtue de la sorte je me sens prête à tout.
J’arrive chez Sandra vers dix-neuf heures. Elle est vêtue d’une jupe et d’un chemisier en ...