Odile se raconte
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
extracon,
boitenuit,
danser,
contrainte,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
historique,
bourge,
hff,
Partouze / Groupe
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... quittes. » Quand tu m’as proposé ton aide, je l’ai appelé et voilà, vous êtes là !
Nous nous regardons, ne comprenant pas tout. Nous nous dirigeons d’un même pas vers la porte, celle-ci est fermée, le piège se referme sur nous. Nous retournant d’un seul mouvement, lui faisant face ensemble, nous lâchons :
— SALAUD !
— Oui, je suis d’accord, mais je n’ai pas eu le choix.
— Comment, tu n’avais pas le choix ? Si c’était de l’argent que tu voulais, il fallait m’en demander !
— Il voulait l’argent, mais surtout il vous voulait, vous.
— Et maintenant, nous, est-ce que nous l’avons le choix ? Comment cela va-t-il se passer ?
— Eh bien, ce sera une soirée dansante au début, et vous devrez accepter tout.
— Avec tous ces mecs présents ? Et cela doit durer jusqu’à quand ?
— Je ne sais pas, ni pour le nombre, ni pour la durée. C’est cousin qui le sait, c’est lui qui dirigera la soirée.
— Que faisons-nous ?
— Après tout, c’est notre ami, dis-je en regardant Sandra. Nous sommes là, comment repartir ? Tu te vois traverser la salle avec tous ces hommes qui savent, eux, pourquoi ils sont là ? Ils ont en plus certainement payé un bon paquet pour être là, et est-ce qu’ils nous laisseront repartir ? J’en doute fort… Nous n’avons pas le choix, alors, il nous faudra BAISER… mais avec protection, sinon rien. D’accord ?
— Oui, ils le savent tous.
Idriis dirige vers la porte et frappe. Elle s’ouvre aussitôt sur un black immense.
— C’est d’accord ?
Idriis hoche la ...
... tête.
— Que la fête commence!
La musique africaine envahit le café. Le géant nous prend par la main, il nous tire vers une autre salle, il nous pousse au milieu d’un groupe d’hommes. Les plus rapides nous attirent et nous font danser. Nos cavaliers se collent à nous, tripotant au travers du tissu nos seins, nos fesses, les plus hardis soulèvent nos robes…
Je sombre dans le flou, jetant un regard désespéré vers Sandra…
~~ooOoo~~
Combien de fois les hommes abusèrent-ils de nous ?
Au petit matin, nous reprenons conscience, le froid nous réveille. La pièce est vide, nous sommes seules sur le vieux matelas aux couleurs douteuses. Nous entendons des hommes parler dans la grande salle. Nous sommes couvertes de sperme, dans nos cheveux, sur nos corps, des traces blanchâtres fripent notre peau, nos sexes et anus brûlent atrocement.
Surgissant de nulle part, une vieille femme vient vers nous. Elle nous parle doucement mais nous ne pouvons la comprendre. Elle a avec elle une bassine remplie d’un liquide odorant et des serviettes chaudes. Elle nous nettoie entièrement avec une infinie douceur, toujours en nous parlant, puis elle sort de sa blouse un pot rempli d’une crème qu’elle passe sur et à l’intérieur de nos parties intimes. Le soulagement est immédiat. Une fois essuyées et séchées, elle nous donne un peu de ce baume miraculeux dans un petit pot puis nous propose de la suivre. Elle nous a préparé à boire et à manger.
Tout doucement, tout se remet à fonctionner. Nous ...