Odile se raconte
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
extracon,
boitenuit,
danser,
contrainte,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
historique,
bourge,
hff,
Partouze / Groupe
Auteur: Edmond Louis, Source: Revebebe
... Après cet intermède gustatif, nos forces étant revenues, Sandra demande :
— Et moi, alors, je tiens la chandelle ? Pourriez un peu vous occuper de moi !
Idriis et moi nous regardons, et d’un air complice nous nous jetons en même temps sur Sandra. Un tendre combat à trois, ponctués de soupirs, cris, et paroles « oh oui, encore, oh c’est bon, oui comme cela, maintenant, viens ». Il n’y a pas eu de vainqueur, seulement trois êtres éperdus de bonheur, alanguis maintenant les uns dans les autres.
Nous prenons ensemble une longue douche, théâtre de nouveaux jeux aquatiques et érotiques avec des combinaisons multiples. Une fois sortis de la salle de bains et constatant que la journée est bien avancée, Idriis nous propose d’aller le soir prendre l’apéritif dans un café tenu par des amis à lui, pas très loin d’ici, en nous précisant que nous ne serons pas déçues car l’ambiance y est très chaude, sans nous en dire plus malgré notre insistance. Il nous demande de nous habiller de la même façon qu’à son arrivée. Nous demandons « avec ou sans rien en dessous », il nous laisse le choix. Nous optons pour ne mettre qu’un string. Je ne mets pas de soutien-gorge, Sandra hésite et finalement s’en passe, laissant ainsi apparaître ses jolis seins.
Idriis n’hésite pas dans son itinéraire. Nous arrivons avec les premières lueurs du soir en grande banlieue. Il s’arrête devant un café et il descend, nous demandant de l’attendre. Notre attente ne dure que quelques minutes. À son retour, il ...
... nous parait anxieux et, ouvrant la portière, nous invite à descendre. Nous prenant chacune par une main, il nous fait entrer dans l’établissement. C’est un choc, à l’intérieur il y a beaucoup de clients de différentes nationalités.
À notre entrée, le silence se fait, tous se retournent sur nous. Idriis fait un signe au barman qui lui désigne du doigt une porte dans le fond du café. Notre traversée se fait sous les commentaires élogieux des hommes, quelques mains baladeuses profitent de la proximité pour nous frôler…
La porte est franchie, elle est aussitôt refermée. Nous lui demandons ce que nous faisons dans un endroit pareil. Sa réponse nous cloue sur place.
— Eh bien voilà, dit-il en s’adressant à Sandra. Tu le sais bien, je n’ai pas une situation matérielle très stable. Pour monter ma boîte j’ai dû faire un emprunt. N’ayant pas de revenu fixe, les établissements bancaires n’ont pas voulu me prêter la somme. Alors un de mes cousins m’a mis en contact avec un de ses cousins qui fait des prêts sur l’honneur. J’ai bien réussi à rembourser le capital et une partie des intérêts, mais il en reste encore. J’ai du retard et je ne peux pas tout payer actuellement. Si je ne solde pas tout, ils cassent tout chez moi. Alors quand je lui ai dit que ce week-end, je le passais avec deux filles blanches, il m’a fait la proposition suivante :« tu te débrouilles comme tu veux, tu viens avec la somme que tu as et tu me laisses les filles pour la soirée du samedi. Après, nous serons ...