AU BORD DU LAC 1/8
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... je vins trouver ma place, mon sexe trouvant sans difficulté l’entrée de sa caverne moite de désir. D’une seule poussée je m’enfonçai en elle, et commençai un mouvement de piston. Elle releva ses genoux et vint cadenasser ses jambes autour de ma taille, m’autorisant une pénétration encore plus profonde. Je l’entendais psalmodier des mots incompréhensibles, en jetant son bassin spasmodiquement contre le mien. Elle jouit brusquement, se collant à moi comme une ventouse, jambes et bras crispés autour de mon corps, puis elle se relacha d’un coup, et s’échappa. Avant que j’aie pû comprendre son but, elle se recula jusqu’à cogner de la tête le dossier arrière. Elle se retourna vivement, et, prenant appui sur le haut du dossier avec ses bras, se dressa sur les genoux, le dos cambré, les fesses tendues vers moi. Je m’avançai et me mis en appui entre ses cuisses, et sentis aussitôt une main, qui saisit ma queue pour la guider vers son antre. Ainsi accueilli dans ce bouillant conduit, je n’avais plus qu’à onduler, d’avant en arrière, nos corps s’éloignant en cadence, pour mieux se réemboiter ensuite. Je guidais de mes mains qui enserraient ses hanches, mes intromissions, ahannant à chaque coup de boutoir, en symbiose avec ses plaintes de plus en plus fortes. Les vitres de l’auto s’étaient tapissées d’une fine couche de condensation, et nous devinions, plus que nous ne voyions, les silhouettes des danseurs quittant la discothèque, dans la lueur blafarde de quelques phares de voiture. ...
... L’intérieur était dans le noir, et nous étions, à la fois isolés du monde extérieur, et en même temps, visibles en flou, quand le faisceau lumineux d’une voiture, illuminait quelques secondes l’habitacle. IIngrid jouit une deuxième fois, sans cesser de bouger, et accéléra notre mouvement, se mettant à monter et descendre de plus en plus vite, sur mon sceptre bandé au maximum. Je délaissai ses hanches pour m’accrocher à ses seins, en triturant les tétons durs et tendus. A chaque mouvement, elle se dégageait complètement de ma queue, la réabsorbant aussitôt, agaçant au maximum mes terminaisons nerveuses. La pression montait et une douce chaleur commençait à envahir mes bourses et mon sexe. La chaleur se transforma rapidement en une brûlure , qui m’envahit et monta jusqu’au gland, déclenchant mon explosion, au moment où Ingrid dans des cris de plus en plus stridents, atteignit son plaisir encore une fois.
Nous nous écroulâmes, épuisés sur la banquette arrière. J’avais rarement connu un plaisir si intense. La tension retombant, nous ressentimes très vite, la fraicheur de l’air, et nous vétimes prestement, avant de rejoindre le dancing. A l’intérieur, la clientèle s’était clairsemée. Débarrassés de toute tension sexuelle, nous dansâmes avec plaisir, nous amusant à nous frôler, à nous embrasser. Ingrid venait danser sensuellement frottant son dos sur moi ; je passais alors mes bras autour d’elle pour venir agacer sa poitrine, ou venais caresser sa cuisse, en remontant, soulevant à ...